Eclats de Moi
Liberté, liberté chérie … J’ignorais que ça faisait si mal la liberté. J’avais le cul en compote, un de ces mal au coccyx … À me demander si j’allais pouvoir enfourcher mon vélo. Mes parents affolés, et moi : - « Vous inquiétez pas, c’est pas grave … » Et je suis partie … Il le fallait … Je le voulais … Pas renoncer … Non, pas maintenant … Mais mon Dieu, que ça fait mal !!!! Aquarelle de Marie-France Rivière
Oui, ben,, c'est moi!
Mais comment tu fais pour savoir que je suis là?
Remarque c'est valorisant de penser que nous ne sommes plus des inconnus à fureter dans tes pages.
Yan
A propos, si ta douce se casse la figure avant d'aller à sa première boum, c'est que le destin lui réserve une autre surprise. Alors, attendons...
Comment je fais pour savoir que tu es là ? L'art de la divination ... Et vous n'êtes plus des inconnus puisque vous passez et repassez .... Vous faites partie de am maison maintenant ....
Quant à ma douce, comme tu dis .... Ces aventures ne faisaient que commencer, je lui demanderai si elle accepte de me confier quelques secrets ....
Merci de ta fidelité Yann
...et de la détermination, déjà...
De la détermination hier....Mais moins que demain ;-)
quand on allait de bon matin, quand on allait sur les chemins...
Biz
Arthi
Voilà qui me rappelle quelque chose ça !!! Aurions-nous les mêmes infos ?
Bises
Chris
Oui mais là ... C'était pas volontaire ...Et puis le plaisir, il était bien loin... :-(
Bises ... Chris
Comme quoi c'était extrêmement dangereux ces boums!.... Je suppose que, par la suite, tu as eu la sagesse de ne pas y remettre les pieds?...
A bientôt... Bises...
François
La sagesse ? C'est quoi ? ;-)
Bises
Chris
Trés agréables souvenirs que je vis à travers toi...ma première "boom" fût tout aussi périlleuse que toi...j'ai bien cru ne jamais obtenir cette satanée autorisation j'avais pourtant 16 ans !!!
La seule différence c'est que moi j'ai enfournée le vélo de course, celui de papa...préssée, trop préssée sans doute, je me suis allongée de tout mon être sur le sol recouvert de gravier...j'avais mal, mais là douleur je m'en moquais, j'arrivais sur les lieux, les mains et les genoux en sang...mais cette chute fût vite oubliée mon premier vrais amoureux m'attendait...mon aprés midi restera à jamais gravée dans ma mémoire...c'était le chemin de la libérté...douloureux chemin...mais tellement beau chemin !!!
wipp à toi ma belle
Merci de cette confidence qui me fait mieux te connaitre.
Bises ma belle