Eclats de Moi
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Thomas parvient à son tour à la porte fenêtre mais d’Isabelle dans le jardin, point. Isabelle n’a pas perdu de temps pour se cacher, lui, ne connaît pas les coins et recoins de cet espace qui n’est pas sien. Il lui faut ruser pour trouver la coquine. Il décide de rentrer, faisant croire ainsi à son désintérêt de ces jeux puérils.
D’un regard circulaire, il détaille cette cour jardin fermée qui ne permet donc aucune échappatoire en dehors de la porte-fenêtre du salon et de la porte du garage.
Il entre, se planque le long du mur et tout en observant les mouvements éventuels à l’extérieur il se déleste de sa cravate en se disant qu’elle pourrait lui être utile.
Isabelle s’étonne.
Elle était pourtant certaine que Thomas s’était levé pour la suivre et il ne vient pas. Elle s’était cachée derrière un arbre, pensant le surprendre, et voilà qu’il lui enlève ce plaisir. Elle sort prudemment de sa cachette et se dit que décidemment les garçons ne savaient pas jouer. Elle est un peu déçue et décide de rentrer à son tour.
Au moment où elle entre sans plus se méfier, il surgit pour l’attraper mais il se prend les pieds dans sa cravate qu’il avait maladroitement laisser traîner. Le voilà qui perd l’équilibre sous les yeux de la miss qui en profite pour s’échapper à nouveau, dans un éclat de rire.
Isabelle est ravie.
Mais cette fois, Thomas l’a vue. Il sait qu’elle va se cacher derrière l’arbre et en quelques enjambées, il est là, bien décidé à empêcher toute nouvelle esquive de la fugitive.
_ Assez joué, gamine, il est plus que temps que je te donne cette fessée méritée.
_ A moi, m’enfin !!! J’ai rien fait …
_ C’est un monde ! Tu me provoques et tu te paies ma tête de surcroît. _ Allez Thomas, j’ai rien fait de mal, sois cool. On ne s’est pas vu depuis deux ans, tu ne vas pas me donner la fessée.
_ Et comment ! Ici même et maintenant ! _ Non pas ici, les voisins pourraient nous voir.
_ Et alors ? Je ne vois pas le problème.
Thomas ne plaisante plus. Isabelle se rend compte qu’elle est peut être allée un peu loin avec son ami. Elle essaie de l’amadouer une dernière fois. _ Pardon Thomas. Je ne voulais pas te faire enrager. C’était pour rire.
_ Il n’y a pas de pardon qui tienne, approche. Je ne le répèterai pas.
Isabelle baisse le nez et se dirige lentement vers lui.
Il lui saisit alors les poignets, les attache avec sa cravate et accroche cette dernière à la branche de l’arbre.
Isabelle se retrouve ainsi sans défense, les bras en l’air, à la merci de Thomas. Son tee-shirt s’est relevé, découvrant ses fesses. Thomas ne se lasse pas de ce spectacle. Il fait durer le plaisir.
Thomas parvient à son tour à la porte fenêtre mais d’Isabelle dans le jardin, point. Isabelle n’a pas perdu de temps pour se cacher, lui, ne connaît pas les coins et recoins de cet espace qui n’est pas sien. Il lui faut ruser pour trouver la coquine. Il décide de rentrer, faisant croire ainsi à son désintérêt de ces jeux puérils.
D’un regard circulaire, il détaille cette cour jardin fermée qui ne permet donc aucune échappatoire en dehors de la porte-fenêtre du salon et de la porte du garage.
Il entre, se planque le long du mur et tout en observant les mouvements éventuels à l’extérieur il se déleste de sa cravate en se disant qu’elle pourrait lui être utile.
Isabelle s’étonne.
Elle était pourtant certaine que Thomas s’était levé pour la suivre et il ne vient pas. Elle s’était cachée derrière un arbre, pensant le surprendre, et voilà qu’il lui enlève ce plaisir. Elle sort prudemment de sa cachette et se dit que décidemment les garçons ne savaient pas jouer. Elle est un peu déçue et décide de rentrer à son tour.
Au moment où elle entre sans plus se méfier, il surgit pour l’attraper mais il se prend les pieds dans sa cravate qu’il avait maladroitement laisser traîner. Le voilà qui perd l’équilibre sous les yeux de la miss qui en profite pour s’échapper à nouveau, dans un éclat de rire.
Isabelle est ravie.
Mais cette fois, Thomas l’a vue. Il sait qu’elle va se cacher derrière l’arbre et en quelques enjambées, il est là, bien décidé à empêcher toute nouvelle esquive de la fugitive.
_ Assez joué, gamine, il est plus que temps que je te donne cette fessée méritée.
_ A moi, m’enfin !!! J’ai rien fait …
_ C’est un monde ! Tu me provoques et tu te paies ma tête de surcroît. _ Allez Thomas, j’ai rien fait de mal, sois cool. On ne s’est pas vu depuis deux ans, tu ne vas pas me donner la fessée.
_ Et comment ! Ici même et maintenant ! _ Non pas ici, les voisins pourraient nous voir.
_ Et alors ? Je ne vois pas le problème.
Thomas ne plaisante plus. Isabelle se rend compte qu’elle est peut être allée un peu loin avec son ami. Elle essaie de l’amadouer une dernière fois. _ Pardon Thomas. Je ne voulais pas te faire enrager. C’était pour rire.
_ Il n’y a pas de pardon qui tienne, approche. Je ne le répèterai pas.
Isabelle baisse le nez et se dirige lentement vers lui.
Il lui saisit alors les poignets, les attache avec sa cravate et accroche cette dernière à la branche de l’arbre.
Isabelle se retrouve ainsi sans défense, les bras en l’air, à la merci de Thomas. Son tee-shirt s’est relevé, découvrant ses fesses. Thomas ne se lasse pas de ce spectacle. Il fait durer le plaisir.
Mar 13 fév 2007
9 commentaires
Hey Clod !!! Je ne suis pas une machine ... Et puis Qui te dit qu'Isabelle n'apprécie pas d'être ainsi exposée ?
Artemis
Comme je le comprends!... Je ferais la même chose à sa place... Et puis faire attendre la fessée c'est aussi bon pour le donneur que pour la "réceptrice"... A notre tour d'attendre... A bientôt... Bises à toi...
fabien - le 13/02/2007 à 20h38
Hé oui comme tu le dis si bien, Fabien ... L'attente est un supplice délicieux pour Elle...
Bises à toi
Bises à toi
Artemis
heee, pour info, mon prénom c'est Isabelle ;-)))
Isatys - le 13/02/2007 à 21h39
Ouahhhhhhhh ;-)))
J'espère que tu apprécies Thomas ? ! ... Sourires ...
J'espère que tu apprécies Thomas ? ! ... Sourires ...
Artemis
voili, voilou...
Elle n'a que ce qu'elle mérite, Cette Isabelle.Ce brave Thomas n'était venu là que pour lui faire la bise et la voilà accrochée à l'arbre avec sa cravate...
Voilà comment les femmes parviennent à corrompre les hommes.
Non mais...
Heu... vivement la suite. Moi j'aime bien me faire corrompre.
bise
yann
Elle n'a que ce qu'elle mérite, Cette Isabelle.Ce brave Thomas n'était venu là que pour lui faire la bise et la voilà accrochée à l'arbre avec sa cravate...
Voilà comment les femmes parviennent à corrompre les hommes.
Non mais...
Heu... vivement la suite. Moi j'aime bien me faire corrompre.
bise
yann
yann - le 14/02/2007 à 10h06
Patience Yann !!!
Ains donc tu aimes te faire corrompre ... Nous verrons ce que nous pourrons faire ... Sourires ..
Bises à toi
Ains donc tu aimes te faire corrompre ... Nous verrons ce que nous pourrons faire ... Sourires ..
Bises à toi
Artemis
Bravo pour ton blog :) Il est tres bien :D
djuk - le 14/02/2007 à 12h15
Merci djuk et Bienvenue chez moi ....
Artemis
L'attente est aussi une délicieuse punition...
e.
e. - le 14/02/2007 à 14h45
Oui aussi ... e. qui sait de quoi il parle ....
Artemis
que dire, toute mes félicitations, pour avoir la flamme de l'écriture, ce n'est pas mon cas. Je pense que cela te prendre beaucoup de temps, mais je passerai voir quand il y aura la suite. bonne continuation
the master - le 14/02/2007 à 18h46
Merci pour ton commentaire et beinvenue chez moi, the master ... Reviens quand tu veux ...La porte est ouverte ...
Artemis
michka - le 15/02/2007 à 17h49
Merci Michka pour cette jolie image.
Bonne soirée à toi
Bonne soirée à toi
Artemis
Michka - le 17/02/2007 à 12h53
Faudra me dire comment tu fais pour mettre des images dans les com , toi ?!
Artemis
RDV bientôt
Bises
CLod
PS : mais thomas, une fois Isabelle dans cette position, fait durer le plaisir trop longtemps!!!...En tout cas, j'espère qu'il ne va pas attendre la semaine prochaine pour la suite...