Eclats de Moi

Elle m’était promise, il me l’avait annoncée ....
Nous sommes deux complices désireux de partager une passion commune. Deux personnes qui aimons se faire plaisir, donner à notre vie des moments si particuliers. Les nôtres.
Les jours se succédaient aux jours, les prétextes s'accumulaient. Le temps passait.
Et puis, est arrivé le jour où les conjonctures se firent favorables au regroupement de notre désir commun.

La route est longue ? Qu’importe ! Il a pris très tôt le chemin qui le conduira à moi qu’il a tant envie de coucher en travers de ses genoux.
J’ai pris la route, de mon côté. Il me fallait assurer la logistique. Il ne s’agissait pas non plus d’oublier la nourriture terrestre.
Nous sommes arrivés sensiblement dans la même minute au pied de l’hôtel qu’il  avait choisi. Nous nous sommes embrassés, heureux de nous retrouver.

Il est allé réserver une chambre, notre chambre. Coïncidence, c’était la même que la fois précédente. Souvenirs émus.
La chambre était composée d’un grand lit, d’une mezzanine avec deux petits lits, une salle d’eau avec une baignoire douche.
Nous nous sommes assis sur le bord du lit et quelques paroles plus tard, il me dit :
- « Alors, Mademoiselle la pénitente, tu as des choses à confesser »
Jouant la demoiselle de mauvaise foi, je répondis :
- « Euh, nan !!! »
Mais monsieur est plutôt soupçonneux et me demande alors si j’ai lu le texte qu’il m’avait envoyé. A ma réponse affirmative, il rétorque qu’il n’a pas reçu de réponse.
- « Euh, j’ai pas eu le temps de répondre »
- « Ah oui, vraiment ? »
Et le voilà qui me bascule en travers de ses genoux et commence à me fesser par-dessus la jupe et j’éclate de rire.
- « Et ça te fait rire en plus »
- « Euh, viiiiiiii !!! »
- « Attend un peu !!! »
Il me fesse alors avec plus d’insistance, d’intensité et je commence à sentir une douce chaleur m’envahir.
Il intercale exercices et fessées, prenant soin de soulever ma jupe et apprécier ainsi, le contraste entre le rouge de mes fesses et le blanc de ma culotte.
Il résonne dans la pièce des bruits qui ne laissent aucun doute sur l’activité qui y est dispensée. Je n’en ai cure, tout occupée à me concentrer sur la douleur naissante de mon fessier.
Je commence à serrer le dessus de lit avec mes poings pour ne pas crier, ne pas céder à la douleur, résister, être la plus forte.
Il fait des petites pauses, admire son œuvre, prends des photos et finit par baisser ma culotte, dernier léger rempart de protection, pour des fesses déjà bien rouges et bien chaudes.
Les claques reprennent sonores, à droite, à gauche, sur les cuisses aussi, qui se sont imperceptiblement écartées. J’ai chaud, ça brûle, mais mon fessier comme attiré par cette main qui le châtie, va au devant d’elle. Il appelle la claque, il la désire. Le seuil de la douleur est passé. Il reste le plaisir, un plaisir difficile à expliquer. Comme un soulagement, la tête qui se vide, le corps qui s’abandonne, se détend, s’offre.
Les claques cessent soudain, sa main se fait caresse, se glisse entre mes deux joufflus, vérifient l’excitation de ma chatte. Un doigt s’insinue, prend possession de mon sexe, un autre titille mon bouton. Je perd pied et me donne à cette fouille organisée.
Le plaisir monte en moi et se libère bruyamment. Nude by Moonlight, photo of a nude dancer in Baja
- « Oh non … »
- « Hé si !!! »
Quelques instants plus tard, il m’aide à me lever, me prend par les mains. Confiante, je me laisse entraîner. Il sort alors de son sac à malice un grand morceau de tissu et m’attache les mains entre elles, remonte ainsi mes bras à la verticale et attache l’étoffe sur les barreaux de la mezzanine.
Il a ouvert la porte de la salle de bain et je ne peux voir ainsi que mon reflet dans la glace. Je lui tourne le dos, je ne peux voir ce qu’il fait.
Mes pieds nus au sol, je ne peux rien faire d’autre qu’attendre ce qui va se passer. Je ne sais pas ce qu’il manigance. J’entend des bruits, mais ne vois rien. Il descend la fermeture éclair de ma jupe qui se retrouve à mes pieds. Il retire mon débardeur qui se retrouve coincé dans le lien au dessus de ma tête. Il est bientôt rejoint par mon soutien-gorge. Je n’ai alors plus que ma culotte, mes seins lourds sont libérés de leur entrave, et l’ont peut déjà voir les mamelons se dresser.
Par quelques nouvelles fessées appuyées, il redonne à mes fesses la chaleur qui s’était quelque peu dissipée. Je ne peux guère bouger ainsi exposée, il baisse alors ma culotte qui se retrouve à mes pieds. Je suis nue. Il assène quelques claques supplémentaires, et, soudain, je sens quelque chose de froid sur mes fesses, froid et fin, je tressaille … Qu’est ce donc ? Il m’a fait connaître l’objet sans me le montrer, l’a fait découvrir à mon fessier comme l’on fait découvrir au cheval le tapis que l’on disposera sur son dos. Lui le respire et s’habitue à ce nouvel objet. J’ai eu cette sensation, cette association d’idée. Mon corps reconnaissait l’objet et l’acceptait.
C’est alors que mon partenaire a commencé à cingler mes fesses, mon dos, mes cuisses qu’il avait écartées avec cette baguette puis avec une fine branchette. Ca pique, ça cingle drôlement mais c’est supportable.
La punition terminée, il m’a détachée. Curieuse sensation. Le sang qui recommence à circuler …. J’ai réclamé de l’anti-fourmi, il en avait même pas …Pfffff ces fesseurs, ça pense à rien !!!
Mais il avait mieux, des mains d’une douceur incroyable et un vrai talent de masseur. Il a longuement massé mes mains et elles ont repris goût à la vie. Il était temps de passer à d’autres activités.
Nourritures terrestres et plaisirs divers et variés ont ponctué ces heures magiques ces heures qui font que l’on se retrouvent sur un petit nuage, que la vie est belle, qu’on a envie de crier …Merci ...

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Mer 20 jun 2007 30 commentaires
Le vrai plaisir est celui que l'on offre ...
... pour mieux le partager ensuite ;-)
... et en jouir hors du temps ...
Carpe Diem - le 20/06/2007 à 05h55
Le vrai palisir c'est celui que l'on reçoit  ...
Pour l'offrir  ensuite ..
Et en jouir indéfiniment ...
Artemis
La douleur et le plaisir, une alchimie souvent détonnantequi lorsqu'elle est administrée à bon essien donne un bonheur innoubliable. Que j'aime ces moments rares qui vous avez si joliement décrit dans cet article ... Bise à vous sur vos lèvres. Mademoiselle - http://baguepourbonheur.canalblog.com
Mademoiselle - le 20/06/2007 à 07h09
Merci pour ces mots Mademoiselle et j'accepte votre bise avec plaisir
Artemis
Quel bonheur dans la souffrance mais aussi quel bonheur de faire rougir de si jolies fesses ...Dominé -dominant ...un plaisir partagé dans la complicité ..Bisous Artémis
Lib - le 20/06/2007 à 10h42
Tu as en tièrement raison Lib ... La complicité c'est el plus important dans ces relations de dominant -dominés ..
Nous partageons un goût commun pour ce bonheur... BisousLib
Artemis
oups.... aie aie aie..... simplement en te lisant j'en ai le rouge aux....fesses
Motdit - le 20/06/2007 à 10h44
Rien qu'en lisant !!! Hé bé ma belle  ....
Artemis
j'ai fait 1 poème avec vos mots du poème collectif...
UMAE - le 20/06/2007 à 11h32
Je suis allée le voir UMAE tu as été bien inspirée
Artemis

Je ne m'attendais pas à cette fessée  lol je ne suis pas adepte de ce jeu-là  lol j'avoue que ce récit est très bien écrit....merci de ton com, ... heureusement on n'a pas les mêmes jeux, je révise mes cours lol bonne journée et bises.

Fancri - le 20/06/2007 à 11h40

Chacun s'esprime dans le jeu qui lui convient ....
Bonnes révisions alors !!!

Artemis
merci... c'est ce dont tu as eu envie? Waww... c'est vrai que tu racontes ça avec intensité, tu sembles avoir pris ton pied...
Kelkun Kidonne un avis. Et toi? - le 20/06/2007 à 12h41
Je l'ai pris oui ... C'est indéniable !!!
Artemis
Mon sexe et mon coeur battent à l'unisson
Frères de sperme, frères de sang
Je regarde mes mains qui m'explique tes frissons
Soeurs de douleur, soeurs aux doigts jouissant...

Bisous, bises, baisers et "foutrement" plus encore.................Piotr, ton Piotr.

P.S : J'aurai tellement voulu être... gardien dans cet hôtel. lol
Piotr Goradd - le 20/06/2007 à 13h48
Piotr ... le gardien seulement ?
Bisous à toi
Artemis
Instants magiques que ceux-ci...Tu le décris si bien, ma belle Artemis...que ça me donne envie ! Je sens que je vais faire plein de bêtises moi, histoire de justifier une bonne fessée !
Volcane - le 20/06/2007 à 16h58
Tu as toutes les cordes à ton arc ma belleguerrière pour parvenir à tes fins, je n'en doute pas
Artemis

Quel moment!!!


Bisous

Clo (pause-cafe) - le 20/06/2007 à 17h38
Un sacré moment oui !!!
Bisous
Artemis