Eclats de Moi
Crédit photo JPP
Elle restait pétrifiée, n’osait se mettre en marche. Son instinct lui disait que le chemin ne serait pas simple, elle
avait peur.
La voyant hésiter, le chauffeur, de sa main gantée de blanc, lui flatta la croupe et la claqua, comme il aurait fait
pour faire démarrer une belle pouliche.
Comme stimulée par cette tape d’encouragement, elle entreprit de suivre cette voie, trop tranquille pour être honnête. Elle se retourna plusieurs fois, le chauffeur ne la quittait pas des yeux, sa présence la tranquillisait. Elle fut toutefois, bientôt hors de sa vue. Les rails s’enfonçaient dans une forêt, elle s’affola … Que se passerait-il si quelqu’un ou quelque chose s’en prenait à elle. Elle était seule. Comment avait-elle pu obéir à ce message ? Elle était folle. Oui, c’est cela, elle était folle, folle de lui.
Les mots, ses mots résonnaient dans sa tête et elle avançait toujours. Un bruit soudain, elle s’arrêta net. Qu’était-ce ? Un garde forestier qui faisait sa ronde et qui fut bien surpris du spectacle qui s’offrait à ses yeux.
« Alors, belle enfant, on se promène ? »
Tremblante, elle répondit qu’elle devait se rendre dans une clairière auprès d’un arbre. Qu’elle en avait reçu l’ordre.
« Fort bien ! Mais vous n’ignorez pas que vous empruntez là une voie privée. Vous ne pouvez poursuivre sans vous être acquittée du droit de passage »
Elle baissa les yeux, son cœur battant la chamade. Le silence régnait alentours. Elle en pouvait s’échapper et personne n’était là pour la sortir de cette impasse. Elle n’avait pas le choix, elle devait se soumettre à la volonté de cet homme. Il déboutonna la braguette de son pantalon, faisant jaillir son vit déjà en érection.
« Fais moi une belle sucette, ma jolie et tu pourras repartir. »
Elle s’accroupit et prit la queue de l’homme dans sa main et la guida à sa bouche. Sa langue taquina le gland, et joua le long du méat. La douceur de sa langue faisait se dresser ce mat de plus belle. Elle l’emboucha et entreprit de long va et vient.
L’homme sentit son plaisir monter. Il lui appuya sur la tête, donna un coup de rein et enfonça sa bite jusqu’au fond de sa gorge, l’obligeant à avaler son nectar.
Son droit de péage accompli, il l’aida à se relever et la complimenta pour cette fellation en remerciant le hasard de l’avoir mise sur sa route. « Pour une suceuse, t’es une sacrée suceuse »
Il la remit sur les rails et d’une claque sur les fesses, lui indiqua qu’il était temps pour elle de reprendre sa route.
Quelques minutes plus tard, elle arriva à la clairière et s’arrêta auprès de l’arbre annoncé.
Un jeune femme, nue, sous une robe transparente semblait l’attendre. Elle tenait une longue corde et un bandeau blanc et dit:
Tes vêtements, tu abandonneras, Le long de l’arbre, tu te mettras,
Tes jambes, tu écarteras
Cette corde, à l’arbre, t’attachera,
Ce bandeau, tes yeux cachera.
Dans ta solitude, tu méditeras.
(A suivre )
Comme stimulée par cette tape d’encouragement, elle entreprit de suivre cette voie, trop tranquille pour être honnête. Elle se retourna plusieurs fois, le chauffeur ne la quittait pas des yeux, sa présence la tranquillisait. Elle fut toutefois, bientôt hors de sa vue. Les rails s’enfonçaient dans une forêt, elle s’affola … Que se passerait-il si quelqu’un ou quelque chose s’en prenait à elle. Elle était seule. Comment avait-elle pu obéir à ce message ? Elle était folle. Oui, c’est cela, elle était folle, folle de lui.
Les mots, ses mots résonnaient dans sa tête et elle avançait toujours. Un bruit soudain, elle s’arrêta net. Qu’était-ce ? Un garde forestier qui faisait sa ronde et qui fut bien surpris du spectacle qui s’offrait à ses yeux.
« Alors, belle enfant, on se promène ? »
Tremblante, elle répondit qu’elle devait se rendre dans une clairière auprès d’un arbre. Qu’elle en avait reçu l’ordre.
« Fort bien ! Mais vous n’ignorez pas que vous empruntez là une voie privée. Vous ne pouvez poursuivre sans vous être acquittée du droit de passage »
Elle baissa les yeux, son cœur battant la chamade. Le silence régnait alentours. Elle en pouvait s’échapper et personne n’était là pour la sortir de cette impasse. Elle n’avait pas le choix, elle devait se soumettre à la volonté de cet homme. Il déboutonna la braguette de son pantalon, faisant jaillir son vit déjà en érection.
« Fais moi une belle sucette, ma jolie et tu pourras repartir. »
Elle s’accroupit et prit la queue de l’homme dans sa main et la guida à sa bouche. Sa langue taquina le gland, et joua le long du méat. La douceur de sa langue faisait se dresser ce mat de plus belle. Elle l’emboucha et entreprit de long va et vient.
L’homme sentit son plaisir monter. Il lui appuya sur la tête, donna un coup de rein et enfonça sa bite jusqu’au fond de sa gorge, l’obligeant à avaler son nectar.
Son droit de péage accompli, il l’aida à se relever et la complimenta pour cette fellation en remerciant le hasard de l’avoir mise sur sa route. « Pour une suceuse, t’es une sacrée suceuse »
Il la remit sur les rails et d’une claque sur les fesses, lui indiqua qu’il était temps pour elle de reprendre sa route.
Quelques minutes plus tard, elle arriva à la clairière et s’arrêta auprès de l’arbre annoncé.
Un jeune femme, nue, sous une robe transparente semblait l’attendre. Elle tenait une longue corde et un bandeau blanc et dit:
Tes vêtements, tu abandonneras, Le long de l’arbre, tu te mettras,
Tes jambes, tu écarteras
Cette corde, à l’arbre, t’attachera,
Ce bandeau, tes yeux cachera.
Dans ta solitude, tu méditeras.
(A suivre )
Sam 15 déc 2007
28 commentaires
Ces petits papillons, comme ils savent nous dirent les choses mieux que les mots ...
Merci de ton passage, je susi contente que tu aimes ...
Bises
Merci de ton passage, je susi contente que tu aimes ...
Bises
Artemis
Délicieux, tout simplement...sourire. J'ai faim moi...
Volcane - le 17/12/2007 à 12h15
Gourmande !!! Sourire ....
Artemis
Bonne continuation , je vous quitte plus tôt que prévu finalement !
BisouXXX et que la vie vous soit douce ;)!
Kissthesky - le 19/12/2007 à 21h22
Kiss , je te souhaite beaucoup de bonheur dans le chemin que tu prends ...
Reviens ici quand tu eux et je garde les clés de ta maison ...
Reviens ici quand tu eux et je garde les clés de ta maison ...
Artemis
ton texte rechauffe vivement l'atmosphere car pour une fois le mauvais temps est de la partie chez nous. Ca fait rien !! on se reposera et la lecture de ce romain nous ravira !!
bisous
pat
biker06 - le 15/12/2007 à 20h32
C'est vrai qu'il ne fait pas chaud à l'extérieur ... Pas un temps à mettre une demoiselle dehors ... Ni sur une voie de chemin de fer ni ailleurs !!!
Artemis
Coucou Artémis...
Je passe en vitesse je vois que j'ai de la lecture à rattraper je passerai demain te lire.
bisous
Je passe en vitesse je vois que j'ai de la lecture à rattraper je passerai demain te lire.
bisous
Ashtartre - le 15/12/2007 à 21h31
Viens quand tu peux Ashtarte, ta visite me fera toujours plasir.
Bisous
Bisous
Artemis
Fesses et sexe en attente
Ma main si nue ne sera que caresses furtives
Pour plus si affinité
Pour la fessée tant attendue
Il faudra encore un peu patienter
Jouissance à méditer, à mériter ...
Ma main si nue ne sera que caresses furtives
Pour plus si affinité
Pour la fessée tant attendue
Il faudra encore un peu patienter
Jouissance à méditer, à mériter ...
Tendreman Spice - le 16/12/2007 à 13h04
Elle patientera donc.... La jouissance se mérite, tu as raison ...
Artemis
Bonjour Artemis,
Je te souhaite par avance un joyeux Noël et de bonnes fêtes de fin d'année.
Bises,
Je te souhaite par avance un joyeux Noël et de bonnes fêtes de fin d'année.
Bises,
Muad' Dib - le 22/12/2007 à 08h02
Merci Muad, joyeux Noël à toi et à ta petite familles. Bisous
Artemis
Un blog où il est très agréable à surfer....
Merci pour ton gentil comm sur mon blog
Bisous
Merci pour ton gentil comm sur mon blog
Bisous
Patrick - le 16/12/2007 à 20h03
Bienvenue à toi Patrick !!!
N'hésite pas à revenir ... S'il te plait de surfer ...
Bisous
N'hésite pas à revenir ... S'il te plait de surfer ...
Bisous
Artemis
Seule les yeux bandés tu attendras,
Au moindre brut ou claquement tu fémiras
Plus fort encore la corde te serrera,
Une plus grande douleur tu sentiras.
La peur au ventre tu auras,
Seul le bruit des arbres tu entendras,
Une voie te donnant des ordres te guidera,
Le sang dans tes veines bouillonera.
Baisers d'un homme du rail
Au moindre brut ou claquement tu fémiras
Plus fort encore la corde te serrera,
Une plus grande douleur tu sentiras.
La peur au ventre tu auras,
Seul le bruit des arbres tu entendras,
Une voie te donnant des ordres te guidera,
Le sang dans tes veines bouillonera.
Baisers d'un homme du rail
Lib - le 16/12/2007 à 21h04
Ah , Monsieur l'homme du rail ...
Si vous vous mettez en travers de ma voie ...
Je n''aurais bientôt plus de voix ...
Et je devrais mettre ...Un chandail !!!
Bises à toi
Si vous vous mettez en travers de ma voie ...
Je n''aurais bientôt plus de voix ...
Et je devrais mettre ...Un chandail !!!
Bises à toi
Artemis
Les demoiselles et les jeunes filles ont la facheuse tendance à se promener où elles ne devraient pas sur nos blogs respectifs...*rires*
Merci de ton commentaire!
Puis je me permettre de te mettre dans mes liens?
Merci de ton commentaire!
Puis je me permettre de te mettre dans mes liens?
Kaos - le 16/12/2007 à 21h11
Merci de ton passage dans ma chaumière Kaos !!
Pas de problème pour le lien au contraire, je fais de même pour toi si tu le veux bien ...
Pas de problème pour le lien au contraire, je fais de même pour toi si tu le veux bien ...
Artemis
Cette suite m'enchante, je suis sous le charme et je sens déjà la dépendance qui s'empare de moi, tout comme les petits papillons dans mon ventre....
J'aime..MERCI
Baiser ensoleillé
Soleildejuillet, rêveuse...