Eclats de Moi
Isabelle le regarde. Elle ne sait que dire, elle ne l’a jamais vu comme ça. Le sourire qu’il affichait à son arrivé a fait place à un regard sévère. Elle n’ose plus bouger. Elle est là devant lui, rouge de confusion. Que va-t-il faire ? Quelle idée a-t-il aujourd’hui ? Ce n’est pas la première fois qu’elle est maladroite mais jamais il n’a réagit ainsi. Isabelle s’interroge. Il lui demande de s’approcher, ses yeux sont impérieux. Isabelle n’ose pas répondre. Elle est comme hypnotisée par ce regard. Elle qui ne se laisse jamais faire, est incapable de réagir, comme aspirée par sa volonté. Elle fait un pas vers lui, i l la prend par le bras et la bascule sur ces genoux. Elle retrouve la parole et dit « Non, vous n’allez pas faire ça ? Vous n’allez pas me donner la fessée, à mon âge ? » Elle remue tente, de se dégager, mais il la maintient fermement son bras passé autour de sa taille. « Je vais me gêner » répond le Monsieur, « Il me semble que vous avez dépassé les limites. Vous êtes aussi écervelée qu’une gamine et comme une gamine vous allez recevoir une fessée bien méritée. Vous la méritez, non ? » Isabelle acquiesce dans un murmure. Les claques commencent à tomber sur ses fesses que ne protège que le tissu léger de sa petite robe. Elles tombent alternativement à gauche, à droite, à droite, à gauche. Isabelle sent ses fesses chauffer mais ne dit rien, elle est attentive à ce qui lui arrive, elle analyse ces sensations. Le monsieur lui demande de se lever et de la regarder. Isabelle se dresse devant lui. Il lui demande alors de retirer sa robe, elle hésite. Il voit son hésitation et lui dit que si elle ne le fait pas elle-même, il s’en chargera mais que la fessée serait plus sévère. Elle retire sa robe et se retrouve nue devant lui. Etrangement, elle se sent vulnérable. Il l’a vue nue tout à l’heure pourtant, mais c’était différent. Elle était nue parce que tel était son plaisir et la voilà nue par sa volonté, à lui. Isabelle est troublée. Il lui demande de se remettre sur ses genoux. Elle ne résiste plus, elle sait que ce qu’elle est en train de vivre est une expérience spéciale, elle veut savoir. Ses fesses offertes à la main de son ami, elle se sent possédée. Les claques reprennent inlassablement. Ses fesses commencent à cuirent sérieusement, elle gesticule, elle gémit. Ses cuisses s’écartent sous l’impact des claques précises, une chaleur envahit son bas ventre. …. Un bruit dans le jardin, Isabelle se réveille. Elle s’était endormie sur son livre. Ses fesses chauffent, l’astre rayonnant a cuit ses fesses blanches, l’ombre qui la protégeait a disparu. Encore dans son rêve, Elle sent une humidité entre ses cuisses. Isabelle sourit. L’heure de la ‘biafine’ viendra plus tard, Elle se tourne face au ciel. Elle se caresse encore perdue dans ses pensées. Elle revoit cet homme, elle revoit cette aventure étrange, elle aurait aimé que ce ne soit pas un rêve. Elle regarde le ballet incessant des grands oiseaux blancs … Un jour un de ces oiseaux blancs l’emportera vers la liberté. Elle sent son plaisir monter, elle ferme les yeux se cambre, sous le ballet des oiseaux blancs. Isabelle a joui. Copyright @ 2006
je redécouvre ce texte qui m'avait fait rêver, et que je t'ai réclamé pour le savourer de nouveau.
un grand merci Kokine de l'avoir posté sur ton blog, certains pourront ainsi le découvrir pour la toute première fois
bisous, bisous, bisous
Bisous ma Sarahh ...
Que j'aime tes mots.
A lire et re lire.
Merci à toi voyageur ...
une charmante découverte que ce blog.
J'y reviendrai...
biz
Arthémisia
Ravie de ta visite Arthémisia et à très bientôt ...ici ou ailleurs ....
Je relis toujours ton histoire avec beaucoup de plaisir, kokine.
J'ai aucun mal à m'y retrouver dedans, surtout pour mes bains de soleil toute nue et mes réveries érotiques qui me sont aussi agréables que la pratique.
Tu cernes bien les "isabelles"
Merci pour ton histoire
isabelle183
Ravie de te voir ici, Isabelle ... Tu as raison ..La rêverie érotique est très ....plaisante ....Même pour les Chris ...
Sacré "Isabelle".
( Les deux cette fois)
Merci Stan pour ton passage chez moi ...Je me souviens de tes commentaires envers mes poèmes, ce qui ne m'empêche en rien de t'apprecier....
Sacré Stan !!!