Volà j'ai été taguée !!! Taguée ? Vite mon dictionnaire .... Non, j'y crois pas il est trop vieux, le mot n'y est pas !!!
d'accord je l'ai eu à un arbre de Noêl, il y a ... Un certain temps !!!
Alors voyons Tag, je sais c'est ce que font les "artistes" des rues avec leurs bombes de peintures mais je ne suis pas une rue moi , alors un tag ?
Encore une belle peinture sur le corps je dis pas ....
Allez je vous en veux pas les chipies Sandy et Wipp pour m'avoir désignée mais si vous recommencer, je vous mets en travers de mes genoux et cette fois c'est vous qui l'aurez la fessée, non mais !!!!
Dessin de Escobar le Lapin
Les règles du jeu du Tag :
- La personne taguée doit faire 7 révélations sur sa personnalité, ses goûts, sa vie ou autres…
- La victime doit écrire ces 7 révélations sur son blog et doit y préciser le règlement du jeu
- La personne taguée doit à son tour désigner 7 personnes et les énumérer sur son blog. Elle doit laisser un message sur le blog des 7 personnes désignées en précision qu’elles ont été taguées et en les invitant à venir visiter le sien afin de connaître les détails du jeu.
Puis qu’il le faut je vais donc essayer de livrer 7 confidences me concernant que vous ne savez pas encore. Exercice difficile s’il en est.
Avec le défi du fond d’écran je vous ai montré que j’aimais Manara.
En tête de mon blog figure aussi une image de Servais…
Elles ont un point commun, l’eau. L’eau qui m’est indispensable, eau sans laquelle, je me dessèche.
Alors que dire ?
Je suis passionnée par le monde des fées, je m'interesse à leur univers et je les recherche au travers des légendes de chez moi et d'ailleurs.
J’aime la mer et sauter dans les vagues. J’aime la Bretagne et ses petites criques où se jettent les ressacs avec violence en faisant de la mousse blanche.
J’aime Renaud et Linda Lemay, j’aime la musique celtique et au-delà les musiques traditionnelles. J’aime Ferrat et Brassens.
Je fais partie d’une chorale et je pratique la danse traditionnelle. Pour le plaisir de la musique, la convivialité et les grands éclats de rire.
Je suis du signe du capricorne et coq chez nos amis chinois.
Je suis blonde, enfin j’étais !!! On fonce en vieillissant et on blanchit après … Et puis, il y a tellement de fausses blondes, que je suis fière d’être vraie. Je suis nature et naturelle, pas d’artifice chez moi.
Quand j’étais petite, je voulais être maîtresse d’école ou bonne sœur… J’ai tout faux
Voilà je me suis con-fessée ici là devant vous, mais c’est bien la dernière fois !!!! Où serait le mystère sinon ? Où serait la place du rêve, moi qui suis une grande rêveuse ?
Maintenant il me faudrait désigner 7 blogueurs, je ne le ferai pas. Je ne sais pas qui choisir, nombre de vous l’ayant déjà été. Alors lancez-vous si vous n’avez pas encore été choisis et dîtes-le moi que j’aille jouer la voyeuse à mon tour !!!!
Par Artemis
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Publié dans : Eclats de moi
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Elle m’était promise, il me l’avait annoncée ....
Nous sommes deux complices désireux de partager une passion commune. Deux personnes qui aimons se faire plaisir, donner à notre vie des moments si particuliers. Les nôtres.
Les jours se succédaient aux jours, les prétextes s'accumulaient. Le temps passait.
Et puis, est arrivé le jour où les conjonctures se firent favorables au regroupement de notre désir commun.
La route est longue ? Qu’importe ! Il a pris très tôt le chemin qui le conduira à moi qu’il a tant envie de coucher en travers de ses genoux.
J’ai pris la route, de mon côté. Il me fallait assurer la logistique. Il ne s’agissait pas non plus d’oublier la nourriture terrestre.
Nous sommes arrivés sensiblement dans la même minute au pied de l’hôtel qu’il avait choisi. Nous nous sommes embrassés, heureux de nous retrouver.
Il est allé réserver une chambre, notre chambre. Coïncidence, c’était la même que la fois précédente. Souvenirs émus.
La chambre était composée d’un grand lit, d’une mezzanine avec deux petits lits, une salle d’eau avec une baignoire douche.
Nous nous sommes assis sur le bord du lit et quelques paroles plus tard, il me dit :
- « Alors, Mademoiselle la pénitente, tu as des choses à confesser »
Jouant la demoiselle de mauvaise foi, je répondis :
- « Euh, nan !!! »
Mais monsieur est plutôt soupçonneux et me demande alors si j’ai lu le texte qu’il m’avait envoyé. A ma réponse affirmative, il rétorque qu’il n’a pas reçu de réponse.
- « Euh, j’ai pas eu le temps de répondre »
- « Ah oui, vraiment ? »
Et le voilà qui me bascule en travers de ses
genoux et commence à me fesser par-dessus la jupe et j’éclate de rire.
- « Et ça te fait rire en plus »
- « Euh, viiiiiiii !!! »
- « Attend un peu !!! »
Il me fesse alors avec plus d’insistance, d’intensité et je commence à sentir une douce chaleur m’envahir.
Il intercale exercices et fessées, prenant soin de soulever ma jupe et apprécier ainsi, le contraste entre le rouge de mes fesses et le blanc de ma culotte.
Il résonne dans la pièce des bruits qui ne laissent aucun doute sur l’activité qui y est dispensée. Je n’en ai cure, tout occupée à me concentrer sur la douleur naissante de mon fessier.
Je commence à serrer le dessus de lit avec mes poings pour ne pas crier, ne pas céder à la douleur, résister, être la plus forte.
Il fait des petites pauses, admire son œuvre, prends des photos et finit par baisser ma culotte, dernier léger rempart de protection, pour des fesses déjà bien rouges et bien chaudes.
Les claques reprennent sonores, à droite, à gauche, sur les cuisses aussi, qui se sont imperceptiblement écartées. J’ai chaud, ça brûle, mais mon fessier comme attiré par cette main qui le
châtie, va au devant d’elle. Il appelle la claque, il la désire. Le seuil de la douleur est passé. Il reste le plaisir, un plaisir difficile à expliquer. Comme un soulagement, la tête qui se
vide, le corps qui s’abandonne, se détend, s’offre.
Les claques cessent soudain, sa main se fait caresse, se glisse entre mes deux joufflus, vérifient l’excitation de ma chatte. Un doigt s’insinue, prend possession de mon sexe, un autre titille
mon bouton. Je perd pied et me donne à cette fouille organisée.
Le plaisir monte en moi et se libère bruyamment. 
- « Oh non … »
- « Hé si !!! »
Quelques instants plus tard, il m’aide à me lever, me prend par les mains. Confiante, je me laisse entraîner. Il sort alors de son sac à malice un grand morceau de tissu et m’attache les mains
entre elles, remonte ainsi mes bras à la verticale et attache l’étoffe sur les barreaux de la mezzanine.
Il a ouvert la porte de la salle de bain et je ne peux voir ainsi que mon reflet dans la glace. Je lui tourne le dos, je ne peux voir ce qu’il fait.
Mes pieds nus au sol, je ne peux rien faire d’autre qu’attendre ce qui va se passer. Je ne sais pas ce qu’il manigance. J’entend des bruits, mais ne vois rien. Il descend la fermeture éclair de
ma jupe qui se retrouve à mes pieds. Il retire mon débardeur qui se retrouve coincé dans le lien au dessus de ma tête. Il est bientôt rejoint par mon soutien-gorge. Je n’ai alors plus que ma
culotte, mes seins lourds sont libérés de leur entrave, et l’ont peut déjà voir les mamelons se dresser.
Par quelques nouvelles fessées appuyées, il redonne à mes fesses la chaleur qui s’était quelque peu dissipée. Je ne peux guère bouger ainsi exposée, il baisse alors ma culotte qui se retrouve à
mes pieds. Je suis nue. Il assène quelques claques supplémentaires, et, soudain, je sens quelque chose de froid sur mes fesses, froid et fin, je tressaille … Qu’est ce donc ? Il m’a fait
connaître l’objet sans me le montrer, l’a fait découvrir à mon fessier comme l’on fait découvrir au cheval le tapis que l’on disposera sur son dos. Lui le respire et s’habitue à ce nouvel objet.
J’ai eu cette sensation, cette association d’idée. Mon corps reconnaissait l’objet et l’acceptait.
C’est alors que mon partenaire a commencé à cingler mes fesses, mon dos, mes cuisses qu’il avait écartées avec cette baguette puis avec une fine branchette. Ca pique, ça cingle drôlement mais
c’est supportable.
La punition terminée, il m’a détachée. Curieuse sensation. Le sang qui recommence à circuler …. J’ai réclamé de l’anti-fourmi, il en avait même pas …Pfffff ces fesseurs, ça pense à
rien !!!
Mais il avait mieux, des mains d’une douceur incroyable et un vrai talent de masseur. Il a longuement massé mes mains et elles ont repris goût à la vie. Il était temps de passer à d’autres
activités.
Nourritures terrestres et plaisirs divers et variés ont ponctué ces heures magiques ces heures qui font que l’on se retrouvent sur un petit nuage, que la vie est belle, qu’on a envie de crier
…Merci ...
Par Artemis
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Ecrire.
Ecrire pour dire, écrire pour évacuer, écrire pour expliquer, écrire remercier, écrire pour convaincre, écrire tout simplement pour partager ma joie de vivre.
Ecrire pour dire qu’il y a des jours où la vie vous offre un cocktail de bonheur.
Ecrire pour évacuer le trop plein de plaisir qui s’est engouffré et le revivre ainsi une autre fois.
Ecrire pour expliquer qu’il est difficile de redescendre d’un nuage où je serais bien restée.
Ecrire pour remercier le voyageur qui croise ma route pour un délicieux moment volé à l’espace du temps.
Ecrire pour expliquer que la tendresse et la complicité sont des facteurs infinis de bien-être.
Ecrire pour convaincre les incrédules que cette punition promise et espérée me met dans un état
second.
Ecrire pour la raconter, oui sans doute, un autre jour. Juste dire que je suis bien. Juste te dire que je suis bien. Juste te dire …. Reviens.
Par Artemis
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Publié dans : Eclats de moi
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Vos impressions