Si vous lisez cette lettre, c'est que vous avez accepté de me rencontrer, soyez-en remerciée.
Je vous demande de lre cette missive en prenant le temps qu'il faudra, la lire et le relire autant qu'il vous plaira. En aucun cas, vous ne décroiserez vos jambes durant cette lecture.
Vous vous leverez doucement et vous dirigerez vers le fond du jardin, vous y trouverez une cabane , vous entrerez discrètement et laisserez la porte ouverte derrière vous. Je vous suivrais à distance.
Vous m'attendrez, face au mur, les jambes écartées. Je rentrerai derrière vous et vous soulèverez votre robe, appuierez vos mains le long du mur et me montrerez votre cul. Je vous guiderai alors doucement de la voix et vous obéirez à chacune de mes demandes sans bruit.
Comme vous le saviez en venant ici, je désire découvrir votre cul, l'observer, le photographier et le toucher.Vous me l'offriez en témoignage de votre acceptation.
Vous pouvez encore renoncer à l'issue de votre lecture, vous lever et disparaitre, ou bien choisir de discuter tout simplement.
Je ne vous en tiendrais pas rigueur, mais si vous acceptez les termes de cette lettre, vous décroiserez vos jambes en signe d'assentiment et resterez ainsi , les jambes légèrement écartées pendant quelques minutes et vous vous dirigerez vers le lieu indiqué.
Vous signerez ainsi un contrat implicite de soumission à ma volonté et à mon emprises sur vos plaisirs ...
Le souhaitez-vous Justine ? Vous dirigerez-vous vers le fond du jardin ?
Justine sent son coeur battre de plus en plus fort à mesure de sa lecture. Il y a un pas entre les mots échangés et son désir de découverte et le moment présent où l'heure fatidique de sa décision, car c'est à elle qu'appartient le pouvoir d'être celle qu'elle veut devenir, c'est elle la maîtresse de sa situation de soumise.
L'acceptera-t'elle ?
Obéira t'elle à ses mots ? S'offrira-t'elle à sa perversité, à son voyeurisme et à sa volonté ? Desserrera-telle ses jambes en signe d'acceptation ?
Son bas ventre frissonnant témoigne de son envie de dire oui, la voix de sa raison crie " Non ! " ...
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