Comment le 8 mars est devenu la Journée Internationale des Femmes...
Origine
Au début du XX°s, des femmes de tous pays s’unissent pour défendre leurs droits et réclamer le droit de vote.
La création d’une Journée internationale des femmes
a été proposée pour la première fois en 1910, lors de la conférence internationale des femmes socialistes, par Clara Zetkin, et s’inscrivait alors dans une perpective révolutionnaire.
La date n’est tout d’abord pas fixée, et ce n’est qu’à partir de 1917, avec la grève des ouvrières de Saint Pétersbourg, que la tradition du 8 mars se met en place. Après 1945, la Journée internationale des femmes devient une tradition dans le monde entier.
En 1977, les Nations Unies officialisent la "Journée Internationale des Femmes"
Les Nations Unies commencent à observer la Journée internationale de la femme en 1975, L’ONU, sur proposition de la Fédération démocratique internationale des femmes, adopte en 1977 une résolution pour inviter chaque pays de la planète à consacrer une journée à la célébration des droits des femmes et de la paix internationale. Le 8 mars est ainsi devenu cette journée de reconnaissance dans de nombreux pays.
( source
http://8mars.online.fr/)
Oui mais depuis ? Qu'en est il ?
Dans de nombreux pays, les femmes les filles sont encore exploitées, torturées, humiliées au nom d'une histoire de religion (?) de fanatisme divers et variés.
Quel sort est -il réservé à nos soeurs afghanes qui sont sous le joug des talibans, sans droit aucun à l'éducation et à la vie tout simplement.
Quel sort pour les femmes et les filles, qui dans nombreux autres pays sont vendues, moins cher que bétail, à des fins d'exploitations sexuelles ou pour un mariage non désiré.
Quel sort pour ces petites filles que l'on sacrifie sur l'autel de croyances ancestrales (?) en les excisant, en leur enlevant leur clitoris les privant à jamais du droit au plaisir, et ce, souvent avec des pratiques barbares.
Plus que jamais, je suis révoltée. Plus que jamais, je poursuivrai ma lutte pour que Femmes et Hommes puissions vivre enfin en harmonie. Comme des êtres humains égaux devant la vie, le droit à l'éducation, à la culture et au plaisir, le droit d'aimer et d'être aimé, le droit de jouir.
Une petite visite sur un article publié en septembre 2006 pour découvrir la merveilleuse chanson de Francesca Solleville : Demande aux Femmes
Un petit clic sur le portrait
Par Artemis
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Dimanche, il semblerait que nous devions fêter les Mamies, Mamy's ou autres Mémés. La fête des grand-mères, ils disent ....
Une autre action commerciale destinée à vider nos porte-monnaies ....
Comme si nous ne pouvions penser à nos aieules n'importe quel jour. Parce que vous aimez un jour par an, vous ? Pas moi.
Même si elles ne sont plus là, mes grand-mères vivent en moi et il n'est pas un jour où pour une raison ou une autre, je ne pense à ellles. Elles disaient ou faisaient celà....
Je sais , vous allez me dire que l'on fête bien les Mamans, les Papas ...
Oui, bien sûr mais à ce moment là ...Les chérubins à têtes blondes, brunes ou rousses usent leurs fonds de culotte sur les bancs de l'école et leurs oeuvres d'art sont un ravissement pour les parents.
Les grands-mères sont des mères... Donc pourquoi aller inventer une nouvelle fête ... Si ce n 'est pour faire dépenser des sous qu'on a pas forcément...
Et puis Mamie, ce qui lui fait plaisir, c'est de voir ses petits enfants, non ? Alors ... Que ce soit dimanche passé, le suivant dans un mois, ou hier .... Elles s'en fichent !!!
Bon moi, dimanche, j'ai fêté le bonhomme carnaval, l'arrivée du printemps après les trombes d'eau de ces derniers jours et les innondations dans la région.
Hé oui, il a plus en quarante-huit heures 98 % des précipitaions du mois.
Et puis je pensais à la lune ... Qui m'avait fait faux bond ....
Et voilà qu'il me vient à l'idée que le meilleur hommage que nous puissions rendre à nos grand-mères, c'est se souvenir comme elles étaient belles, comme elles étaient femmes ....
Alors je vous invite à feuilleter ce livre et aller à la rencontre ces femmes du temps passé qui savaient se faire belles, sensuelles ... Comme nous ....
Un petit clic sur le livre et laissez-vous porter ....
Par Artemis
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Artemis la nouvelle lune, Hécate la lune décroissante et Sélénè la pleine lune font partie de la même triade. Cette nuit c'était la fête de Sélénè , soeur d'Hélios le soleil et d'Eos l'aurore..
Un évènenement annoncé par tous comme un spectacle de toute beauté. La Pleine Lune devant progressivement entrer dans la Pénombre.
Je me faisais une joie d'assister à ce spectacle. Je voulais voir la lune rouge. Mais les cieux en ont décidé autrement.
Un plafond de nuages a masqué l'astre lunaire avant que ne débute le début de l'aventure .
Mais que faisait donc Eole ? Ne pouvait-il pas faire son boulot et chasser les nuages. Encore en train de draguer quelque Brise sans doute.
Toujours est-il que de spectacle, je ne vis point, du moins avec mes yeux.
En liason avec un de mes amis, astro, j'ai suivi la progression de l'eclipse en temps réel, avec des explications détaillées.
Un regret de ne pouvoir assister, en pour de vrai, à cette évènement mais un plaisir d'avoir partager une émotion., à des kilomètres de distance.
C'est aussi celà la magie d'internet. Partager des passions avec des gens de tous horizons.
Il n'empêche qu'Artémis en réfèrera à Zeus. Il me semble qu'Eole mérite une bonne fessée pour m'avoir empêcher de voir ceci.
Par Artemis
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On me demande souvent pourquoi, j’ai choisi ce pseudo. Je pourrais répondre simplement parce que j’aime la sonorité, parce qu’il rime avec mon diminutif, parce que j’aime la mythologie.
J’ai choisi de sonder mon âme et tenté d’expliquer le pourquoi du comment, nous nous sommes reconnues Artémis et moi.
Quand j’ai créé ce blog en septembre dernier, je n’avais pas choisi ce pseudo. Il s’est imposé à moi au fil du temps. J’avais joué la simplicité et utilisé mon diminutif et puis …. Des évènements personnels ont fait que je me suis vue obligée d’en changer, pour préserver mon jardin secret. Nous ne nous connaissions pas encore Artémis et moi.
Je cherchais depuis quelques temps à trouver un nom à ma maison, un nom de planète qui soit le refuge de mes rêves, de mes passions et de ma sensualité. Je voulais une planète qui me ressemble qui soit d’eau parce que j’aime l’eau ou rouge parce que j’aime le rouge. Une planète où la nature serait très présente, j’aime l’espace et la liberté. Comme planète d’eau, il y a la Terre bien sûr mais elle est bleue et puis elle est trop réelle pour être mon refuge secret. Il y a Mars, la rouge, mais elle n’a pas d’eau. Il n’était pas encore question de relation entre Artémis et moi.
Et il y a eu ce jour où il m’a dit que je lui faisais penser à une déesse, Artémis, parce qu’elle est une déesse et une Naïade. Jacques Lacarrière dans son Dictionnaire amoureux de la mythologie nous décrit le tableau du peintre allemand Lucas Cranach le Repos de Diane, dont le carquois de chasseresse pend à un arbre proche. Diane (Artémis) y est représentée, nue, à proximité d’une source sourdant d’un grand rocher.
Bouchet quand à lui,la représente aussi au sortir du bain en charmante compagnie.
Elle se plaisait dans les champs, dans les bois et près des sources
Coureuse des bois, sauvageonne insoumise et fière, Artémis appartient avant tout au monde sauvage. Artémis, encore appelée « la radiante », est aussi celle qui guide les égarés, les étrangers, ou les esclaves en fuite au cœur de la nuit. Aussi Artémis porte-t-elle en latin le nom de Trivia, « celle qui éclaire la route aux carrefours de la vie ». C’est alors que nous nous sommes apprivoisées Artémis et moi.
Evidemment, nous sommes différentes, elle chasse le gibier … Pas moi. Elle est vierge et symbole de chasteté … Pas moi.
Mais Elle aime la nudité … Comme moi. Elle est insoumise … Comme moi. Elle guide les égarés … Comme je le fais, moi aussi à ma façon, d’en l’espoir d’un monde meilleur.
Elle est Elle, et je suis, moi. Mais nous sommes alliées Artémis et moi.
Par Artemis
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