Aujourd'hui est un jour pas comme les autres. C'est classe de découverte. Le directeur de l'établissement a décidé de récompenser ses élèves studieuses en organisant une sortie pédagogique avec le professeur d'histoires naturelles.
Après avoir étudié sur divers manuels la faune et la flore de la région, il a estimé utile de leur faire découvrir les espèces vivantes dans leur milieu naturel.
Les élèves se réjouissent de cette sortie imprévue, un peu d'air ne leur fera pas de mal. Le directeur leur précise toutefois, qu'il ne s'agit pas d'une récréation, qu'elle devront se munir d'un calepin pour prendre notes et croquis. Elles devront à leur retour rédiger un compte rendu détaillé de leur promenade, qu'elles remettront à leur professeur.
Les jeunes filles porteront la tenue réglementaire de l?établissement : la jupe et le chemisier. Elles emporteront leur sac à dos dans lequel elles rangeront un pull-over et un imperméable en cas de pluie, ainsi que leur pique-nique.
Le chemin sera long et parfois difficile, mais aucune plainte ne sera tolérée. Il ne s?agit pas de s'amuser mais d'apprendre autrement. Le professeur d'éducation physique les accompagnera, il sera responsable de leur sécurité et sera là pour leur donner des conseils pour se maintenir en forme.
Le directeur demande à ses élèves de se mettre en rang pour partir en forêt. Il ne veut pas d'une troupe désordonnée. Les jeunes filles doivent traverser le village avant d'emprunter la route qui les conduira sur les lieux de leurs explorations. Elle représentent l'image de leur établissement et se doivent d'être irréprochables. Le directeur leur rappelle les consignes et les sanctions qu'il ne manquera pas de prendre en cas de manquement au règlement.
Je suis l'une des élèves les plus assidues du pensionnat, je suis passionnée par ce que j'étudie et par la faune et la flore en particulier. Je prépare soigneusement le matériel que je dois emporter et rejoins mes camarades de classe.
Nous partons enfin. Les langues vont bon train malgré le rythme soutenu que nous impose le professeur d'éducation physique.
Au bout d'une heure d'une marche au pas cadencé, nous arrivons au but de notre promenade. Le professeur d'histoires naturelles commence alors à monter et expliquer les phénomènes de la nature.
Nous passons alors devant un noisetier bien garni, j'adore les noisettes. J'écoute avec attention les explications fournies par le professeur mais ne perd pas de vue ces fruits de l'automne et me promets d'en ramasser discrètement quelques uns.
Le groupe reprend alors sa marche et je reste un peu en arrière, je n'ai pas vu le temps passer, et quand j'ai levé la tête, j'étais seule.
Un sentiment de panique m'a envahie, je n'ai pas le sens de l'orientation. Pourvu qu'ils me retrouvent me dis-je en prenant soin de rester au pied de l'arbre.
Au bout d'une demi-heure, mes camarades se sont aperçues de ma disparition et l'ont signalée aux accompagnateurs.
Il fut décidé que le professeur d'histoires naturelles resterait avec mes compagnes et que le directeur et le professeur d'éducation physique partiraient à ma recherche.
Au bout d'un moment, j'ai entendu appeler au loin, j'ai crié pour signaler ma présence et j'ai été retrouvée.
Le directeur était furieux et rouge de l'effort qu'il avait fourni. Il m'a annoncé que je serai punie sur le champ. Il m'a fait pencher vers le noisetier et dit de bien m'y tenir. Il a soulevé ma jupe et baisser ma culotte sur mes chevilles sous le regard du professeur d'éducation physique. Il est passé à coté de moi, a enserré ma taille de son bras gauche, m'a demandé d'écarter un peu les jambes et de sa main droite à commencer à m'appliquer une fessée en règle.Les claques tombaient sèches et sonores, alternativement sur chacune de mes fesses. Elles commençaient sérieusement à me cuire, mais je n'osais protester sachant que je l'avais mérité. Le directeur semblait ne pas vouloir s'arrêter, déchargeant ainsi l'anxiété qu'il avait ressentie en s'apercevant de la perte d'une de ses élèves.
J'avais mal maintenant, je commençais à pleurer et demandais grâce. Il a cessé alors en disant qu'une pause ne ferait pas de mal à ses bras .Il m'a alors lâché, demandé de me reculer en restant cependant penchée les fesses en l'air et les mains enserrant mes chevilles afin qu'ils puissent admirer mon postérieur rougi. Il a demandé alors au professeur d'éducation physique de lui confectionner une baguette avec une branche de noisetier, il voulait ainsi marquer sa punition par l'objet même de ma faute. Il a pris la baguette de noisetier et décidé de m'en infliger immédiatement dix coups sur chaque fesse avant de repartir.
J'en ai pleuré tellement j'ai eu mal après la cuisante fessée qu'il m'avait administrée, j'ai demandé pardon et promis de ne jamais recommencer. Il a gardé la baguette et m'a informée qu'à tout nouveau manquement à la discipline, il s'en resservirait quelque soit le lieu et l'heure.
Il était temps de rejoindre les autres, il m'a autorisé à me relever, à reprendre mon sac à dos. Il a toutefois décidé de garder ma culotte, que je devrais aller dès notre retour au pensionnat, récupérer dans son bureau..
Il a coincé le haut de ma jupe sous le sac à dos, de manière à ce que mes compagnes puissent voir ce qu'il en coûte de désobéir au directeur. C'est ainsi que j'ai eu ma première fessée en plein air et la honte de ma vie.