( Le premier épisode est ici )
Première soirée au château.
L’allure du cheval s’est ralentie, comme pour me permettre de reprendre mes esprits.
Monsieur M m’a chuchoté à l’oreille :
« Hé bien, Mademoiselle C., il semble que cette première promenade à cheval ne vous ait pas laissé indifférente ! »
Le rouge m’est monté au visage, j’ai alors pris conscience de ce qu’il m’était arrivé. Comment avais-je pu laisser libre cours à mon plaisir devant cet homme que je ne connaissais pas ?
Je n’osais dire un mot, mais il n’avait pas l’air fâché, comme tout à l’heure après l’épisode de la brosse à reluire. Il m’a alors doucement demandé de répondre à sa question.
« C’est une formidable expérience. » lui ai-je répondu. « C’est si agréable de sentir le vent, j’avais une sensation de liberté et la nature est si belle.
Monsieur M. a regardé sa montre et décidé qu’il était temps de rentrer au château, où sa vieille maman avait besoin de mes soins.
Arrivés au château, Monsieur M. est descendu de cheval, m’a pris par la taille et m’a fait descendre doucement, face à lui.
J’ai vu alors dans ses yeux une lueur indéfinissable et un long frisson a parcouru ma colonne vertébrale.
Il m’a rendu mes vêtements et m’a demandé d’aller vaquer à mes occupations et de le rejoindre à son bureau après le souper.
J’ai donc fait comme il était convenu. Je suis d’abord passer dans ma chambre, prendre une bonne douche pour me remettre de l’excitation de cette magnifique course à cheval.
C’est fou l’effet que peut me faire une douche, moi, j’ai dû me faire violence pour en sortir.
Ensuite, je suis allée m’occuper de la charmante personne qu’est la mère de Monsieur M., et suis allée souper avec les autres membres du personnel.
Je me suis alors rendue au bureau de Monsieur M. comme il me l’avait demandé. J’ai frappé et un instant plus tard, il m’a autorisée à entrer.
J’ai attendu immobile devant son bureau pour savoir ce qu’il me voulait. Il m’a regardée et a dit :
« Mademoiselle C, vous avez eu cet après-midi une attitude quelque peu indécente, n’est ce pas ? »
Je ne savais plus où me mettre, je regardais mes chaussures et attendais, quand il reprit :
« Je n’apprécie pas ce genre de comportement et je vais vous punir de vous être ainsi laisser aller. Ne croyez pas que je n’ai pas apprécié cependant, mais je ne veux plus vous voir jouir ainsi sans ma permission »
Il me demanda alors d’approcher et de me positionner en travers de ces genoux. Je sentis ma jupe glisser et dévoiler mes fesses dont les rougeurs témoignaient de la fougue avec laquelle cette cravache m'avait embrassé.
Je commençais à bouger en tous sens, sous la douche de claques que je recevais, j’essayais de mettre mes mains pour me défendre, mais il m’en a empêchée. Le seuil de la douleur passé, je me suis détendue progressivement et je me suis surprise à attendre la claque suivante, mais la cadence ralentissait, ses mains se faisaient douces, les claques devenaient caresses.
Une douce chaleur s’est glissée dans mon bas-ventre, mes jambes se sont imperceptiblement écartées laissant entrevoir mon intimité humide de désir.
La punition était finie, une autre activité a alors commencé et cette fois, ma jouissance était non seulement autorisée mais souhaitée.
J’ai compris ce soir là, que je ne repartirais pas. J’avais trouvé un emploi, certes, mais bien plus encore.
Je connaîtrais d’autres expériences, d’autres punitions, d’autres émotions et je m’y abandonnerai avec délice et volupté.
Merci Monsieur M. de m’avoir fait découvrir ces délicieuses saveurs sucrées salées.
Par Chris
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Publié dans : Eclats de Plume
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