Ma première fessée.
Depuis longtemps je rêvais, j’imaginais, j’espérais devenir, enfin, l’une de celles qui avaient la chance, la joie de connaître le plaisir de recevoir la fessée.
Je regardais des vidéos, des images et un jour, j’ai découvert le site de Discipline Domestique où je me suis inscrite.
J’ai lu les récits des uns et des autres, discuté sur le chat, échangé des mails avec certains et certaines d’entre vous et j’ai compris que j’allais moi aussi passer de l’autre coté du miroir. Les jours, les semaines ont passé et mon envie s’est faite de plus en plus forte, mais je continuais à rêver, je ne pensais pas que cela m’arriverait. Un jour, au milieu d’une conversation, un ami m’a lancé comme une boutade : « Et si je viens te voir, tu dis quoi ? » Oupsss, je ne m’y attendais pas à celle-là. Je rigolais, je plaisantais mais je n’y croyais pas, et là j’ai eu un choc, j’ai dû devenir rouge comme une écrevisse, j’ai senti une étrange chaleur me monter au visage. J’ai repris mon souffle et j’ai répondu : « Si tu viens, oui je te recevrais » Dès lors, nous n’avons parlé que de ce jour où pour la première fois j’allais vivre cette expérience, nous avons planifié cette rencontre, choisi le jour, imaginé comment cela se passerait. J’en ai perdu le sommeil, pas facile pour moi de relever le challenge. J’ai accepté, oui bien sûr, mais serais-je à la hauteur de son attente et de mes espérances. J’en avais envie, mais j’avais peur aussi. Je comptais les jours J-10, puis J- 5 cette pendule du temps qui n’avance pas, j’aurais voulu que ce soit déjà passé, mais en même temps, l’attente c’est troublant et excitant aussi. Enfin, la veille de ce jour de novembre où il devait venir, mon ami m’a envoyé un mail en me donnant quelques consignes, que je devais respecter, pour notre rencontre du lendemain. Il fallait que je dorme si je ne voulais pas ressembler à un cadavre ambulant au réveil, mais facile à dire, moins à réaliser. De l’ignorance à la découverte
Je me suis levée ce matin là, en me demandant si je savais bien ce que je faisais, si j’étais bien dans ma tête, et puis je me suis dis qu’il était trop tard pour faire marche arrière, que j’en avais trop envie et que la peur n’évite pas le danger. J’ai pris ma douche et me suis habillée en essayant de respecter les consignes. Nue devant mon armoire je regardais mes vêtements. Bien sûr, je n’avais rien à me mettre, enfin pas ce qu’il fallait et bien tant pis le sort en est jeté, je fais pour le mieux et je sais que chaque manquement me donnera droit à quelques claques supplémentaires. J’ai pris ma voiture et me suis dirigée vers le parking de l’hôtel où nous devions nous retrouver. J’avais le cœur qui battait la chamade, on aurait dit une gamine qui se rendait à son premier rendez-vous, mais n’était-ce pas le cas ? J’allais recevoir ma première fessée, ce serait un peu comme un dépucelage en fait. Je me suis retrouvée face à lui sur le parking, sous la pluie, nous nous sommes embrassés et avons gagné la chambre sans plus attendre. Il ne faisait pas chaud et je tremblais un peu, mais était-ce seulement de froid ? Il m’a regardée et a dit : « Voyons si les consignes sont respectées. » Evidemment, ce n’était pas le cas, la seule chose que j’avais pu réaliser était de ne pas mettre de sous-vêtements, c’était déjà un exploit. Sortir de chez moi, comme ça, nue sous ma jupe et mon chemisier. Cette impression que tout le monde le voit. Je ne sais plus comment je me suis retrouvée à plat ventre sur ces genoux, lui sur le bord du lit mais j’ai compris que la séance était commencée. D’abord quelques claques sur la jupe, puis la jupe retroussée. Oh là là, l’émotion, c’est vrai quoi ! Vous n’imaginez pas mais, se dévoiler comme ça devant un inconnu, même si c’est un ami, c’est pas évident. Je me suis vite retrouvée nue et les caresses se sont mêlées au claques, j’ai perdu la notion du temps, on a oublié le repas. Le resto il a pas fait d’affaires avec nous, tant pis pour lui et tant mieux pour moi. Il est clair, que rien ne s’est passé comme nous l’avions prévu, et alors ? Cette fessée a été un acte d’amour, et je ne l’oublierai jamais. Nous en avons parlé des jours après, et avons décidé de renouveler l’expérience une autre fois. Il voulait me donner une vraie fessée cette fois, non pas que la première soit fausse mais entre temps il avait pris de l’assurance et moi, je voulais une fessée lui sur la chaise et moi sur ses genoux. De la découverte à la connaissance Comme la fois précédente, nous nous sommes retrouvés dans une chambre d’hôtel. Comme la première fois, j’avais des consignes à respecter, mais là je peux vous dire que j’ai éclaté de rire quand je les ai lues. Bien sûr, je ne pouvais pas tout respecter, mais ce sont les règles du jeu, et j’avais le barème, je savais combien de claques je recevrais par omission. Pourquoi ai-je éclaté de rire ? Tout simplement parce que Monsieur avait pensé à ne pas repartir le ventre vide ce soir là, il m’avait demandé de la baguette de campagne, des rillettes de canard, des pommes et des bananes. Je précise que nous n’étions pas morts de faim la fois précédente, il avait des pralines et des dragées au chocolat. Quand il a eu fait l’inventaire de mon sac et vérifié si rien n’avait été oublié, il a disposé la chaise en travers de la chambre et m’a demandé de me mettre en position, ce que j’ai fait immédiatement, il a commencé à claquer mes fesses sur mon pantalon, l’une après l’autre et de plus en plus fort. Je me suis retrouvée ensuite en petite culotte blanche et il a continué à claquer, je n’ai pas compté mais il y allait franchement, et ça commençait déjà à me cuire, je poussais des cris mais n’aurais jamais dit de cesser. Un peu plus tard, je me suis retrouvée nue, toujours sur ses genoux et là ça chauffait sérieux, je me retenais une main par terre et de l’autre, je serrais sa cheville ou le pied de la chaise. J’ai bien essayé de mettre ma main pour me protéger, mais c’était peine perdue. Et puis soudain, la douche a cessé. Sa main s’est faite douce, et massait mes fesses brûlantes, j’étais bien. Quand sa main s’est fait pressante, chercheuse, audacieuse, je me suis offerte comme jamais, j’ai appris à voler. Comprenne qui pourra ! J’étais sur ses genoux, mais plus rien ne me tenait, j’étais en équilibre les jambes tendues et les bras comme les ailes d’un avion. Le bonheur à l’état pur. Quelques heures plus tard, le casse-croûte avalé, après une énième séance fessée, il m’a dit de me coucher sur le lit et qu’il allait me masser, il avait tout prévu. Je n’ai pas pu résister à un tel délice, ses mains si douces qui massaient mes fesses en feu, je me suis abandonnée totalement au bonheur qui m’envahissait. Apres le massage, d’autres câlins, d’autres fessées simultanées, improvisées qui m’ont donné tant de plaisir. Mais la journée n’était pas terminée, il a fallu expérimenter les ustensiles prévus dans le programme, alors on a essayé la tapette à mouche ( coucou Sarahh), ça cingle cette petite chose sur des fesses qui n’en peuvent déjà plus. Dernier test, les spatules en bois, mais là trop, c’est trop, j’en peux plus, il y va fort, il arrêtera donc jamais, ah! si, je sais, je me souviens je vais le dire ce mot magique. Ouf ! ! ! ! ! ! ! ! ! Avant de repartir, il m’a proposé une dernière séance de claques plus fortes, données avec le plus d’élan que son bras peut faire, je ne suis pas obligée d’accepter. Il s’est assis et m’a dit : « C’est toi qui décides, si tu te mets en position, je le fais mais je ne m’arrêterais pas, là le mot magique ne marchera pas. » Je suis debout à coté de lui, et je le regarde. Il sait que j’ai envie et que j’hésite. Je veux savoir jusqu’où je peux aller, je me mets en position. Il me donne trois ou quatre claques pour me réchauffer et en route pour le festival. Je crie et ne crie plus, je ferme les yeux, je serre les dents. Quelle sensation entre chaque claque, je sens comme une brûlure qui irradie toute ma chair. Enfin, ça s’arrête, je n’ai pas pleuré, je suis fière de moi. Il est temps de se quitter, chacun doit reprendre sa route et son destin, mais quelle riche expérience ! Je me rhabille doucement, il me surveille, je remets ma culotte, mon Dieu, je ne savais pas que c’était si difficile ! vive les Sans-Culottes ! Nous avons rejoint le parking, et je suis remontée dans ma voiture sous les yeux amusés de Monsieur qui regardait la tête que je faisais avec la difficulté que j’avais à m’asseoir. Le piment de mon aventure a été de cacher tout çà à mon entourage. Faire en sorte que personne ne se rende compte que j’avais mal aux fesses, et ça a duré huit jours. Ca aussi c’est excitant : savoir qu’on est seule à savoir.
Par Artemis
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Publié dans : Eclats de moi
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