Printemps qui sourit à la porte,
Envie de respirer
Envie de profiter
Oublier les feuilles mortes
Printemps qui offre le soleil
Envie de nudité
Envie de volupté
Oublier la grisaille du ciel.
Printemps qui apporte la vie
Envie de chanter
Envie de danser
Oublier les jours transis.
Printemps qui libère les fleurs
Envie de rêver
Envie d’aimer
Oublier la tristesse des cœurs.
Printemps qui apporte l’amour
Envie de tendresse
Envie de caresse
Oublier tous les vilains jours.
Copyright @ Artemis Mars 2007
Par Artemis
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Publié dans : Eclats de Poésies
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J'aime l'eau, vous le savez ....
Je vous est raconté comment j'aimais prendre ma douche dans Histoire d'O.
Vous avez pu voir le plaisir que je prends à me baigner ..... Même à minuit ...
J'ai choisi Manara et Servais parce qu'ils dessinent merveilleusement des filles heureuses dans l'eau.
Le pseudo d'Artemis c'est imposé à moi, parce qu'elle est la déesse des naiades ...
Mais pourquoi ?
D'où me vient ce plaisir de l'eau, ce goût immodéré pour cet élément ? Pourquoi, est-il hors de question que j'aille en vacances dans un endroit sans eau pour m'y délasser, m'y baigner et jouir de ce contact si.... Charnel pour moi ... ?
Pourquoi ?
J'ai creusé dans ma mémoire, essayé de comprendre cette attirance... Je n'ai pas trouvé d'explication logique...
J'ai seulement retrouvé que dans le passé d'Artemis ... L'eau était déjà présente ...
Par Artemis
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Publié dans : Eclats de moi
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Surprise par le geste inattendu de son ami, Isabelle, ne peut nier le plaisir incongru que cette situation lui procure.
Thomas remarque le trouble de son amie et sent son sexe se raidir. Il désire Isabelle. Il la veut, il veut l’aimer là, maintenant alors qu’elle est toujours attachée à la branche de l’arbre.
Il libère alors Isabelle du bras gauche qui l’encerclait mais ne la détache pas.
Thomas recule.
Isabelle est là devant lui offerte à sa volonté. Elle ne comprend pas. Pourquoi a-t-il cessé ? Pourquoi l’abandonner ainsi ?
Il la regarde, devine dans ses yeux un léger voile et sur sa bouche une moue à la fois d’interrogation et de déception.
Elle, si bavarde, ne dit mot.
Thomas observe ce corps presque nu, dont les mamelons pointent au travers du tissu.
Il s’approche alors, soulève le tee-shirt d’Isabelle, le remonte au dessus de sa tête et le coince dans la cravate. Quelle merveilleuse invention que cet objet là, se dit il, pour une fois …
Isabelle est nue.
Thomas découvre deux seins magnifiques, fiers et dressés vers lui. Il ne résiste plus, en prend un dans chaque main et commence à les caresser.
Il les découvre, joue avec les mamelons et les fait tourner. L’aréole se plisse de désir, les tétons durcissent.
Sa bouche ne tarde pas à entrer en action. Il lèche, suce, passe de l’un à l’autre.
Quand sa bouche ne mordille pas l’un, la main prend la relève. Elle malaxe, pince et tirent les tétons tendus.
Isabelle tressaille.
Elle est comme parcourue d’une onde électrique. Elle ne peut intervenir, elle ne peut se soustraire.
Un plaisir fou monte en elle.
Elle est très sensible des seins. Thomas s’en est rendu compte. Il use et abuse de cette poitrine à sa disposition. Il l’aspire, la titille. Sa langue est joueuse, sa bouche est suceuse.
L’orgasme d’Isabelle déferle, comme une lame de fond, incontrôlable et incontrôlé. Son corps se raidit, se cambre, se tend vers lui et elle explose dans un cri. Un cri qui résonne dans le silence de cette matinée pas comme les autres.
Isabelle a joui.
Par Artemis
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Publié dans : Eclats de Plume
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