Qui suis-je

Eclatons-nous

  Vous êtes 
 
  
promeneurs à être venus 
me rendre visite depuis septembre 2006.
Un nombre c'est bien ,mais c'est pas très
causant ... Mec lecteurs d'où venez-vous ?
Le 20 octobre 2007, j'ai mis cette carte
pour mieux vous connaitre.

outils webmaster

outils webmaster


Citation

"L'érotisme est l'une des bases de la connaissance
de soi, aussi indispensable que la poésie." 

 

 
Anaïs Nin, Etre une femme et autres essais.

Un petit clic si aimez ce site

www.meilleurduweb.com : Classement des meilleurs sites Web.



Mon livre de chevet 
A lire absolument
 
   livre
  
  Ce que je lis en ce moment


 








Les forums que je fréquente

les plaisirs et pêchés mignons de Lola



Les dialogues de femmes de Sarahh









Je les ai rencontrés sur OB



Koulou


 

Muad


 

Le Musée de Muad


Michka 


 

Motdit


 

Arteashow


 

Baggins


 


Little red Dragon


Blackevil


Lib le poète



Guts ou le royaume de la chaleur


 Les sens de Claire

 

  Le carnet d'Erwan 

 

 

 Référencement

Erotisme sur BIG-annuaire

Annuaire de l'érotisme

L'annuaire de l'elfe de la forêt noire .

L'annuaire de didinath


annuaire du pépère  

Annuaire de Blogs

l'annuaire du WebAdd to Technorati Favorites

W3C

  • Flux RSS des articles

overblog



~ Il y a  1  promeneurs sur Over-Blog dont   1  curieux sur cette planète ~


Je n’ai pas la prétention de faire une merveille, j’ai juste envie de vous faire partager un peu de moi, quelques ‘éclats’ de moi.

Mes écrits, mes lectures, mes états d’âmes ou mes coups de colère, j’ai envie de vous faire plaisir et de me faire plaisir.

Si vous passez me voir et aimez ne serait-ce qu’une histoire, un poème ou un simple mot.

J’aurai gagné et je vous en remercie.

 

 

De moi à vous
Eclatez-vous
De vous à moi
Ecrivez-là

 
Le texte qui suit a été déposé en commentaire sur " La fessée bonheur " par Piotr Goradd.
Je ne pouvais pas laisser une telle oeuvre dans les profondeurs ... J'ai donc ouvert une nouvelle rubrique : Les Eclats de vous, dans laquelle, je mettrais certains des cadeaux que vous me faites.

Je me souviens quand je suis devenue homme, quand il tronqua sa condition et me permit d’endosser sa fonction.
J’étais une jolie bougie rouge, de belle taille... Hum, peut-être pas de la stature d’un cierge, mais plutôt d’une fort belle chandelle...
Je me souviens de ce sentiment de puissance, de pouvoir qui m’inonda, moi, simple flamme parmi les flammes, insignifiante flammèche qui allait dompter un volcan.
À l’heure où je vous parle, je ne suis plus que le flamboiement d’un souvenir, un moignon de paraffine rougeâtre, calciné et déformé posé sur le rebord de leurs consciences, mais, je me souviens...
Un tête-à-tête amoureux, des plats raffinés.
Un tête-à-queue d’amourette, des jeux paraffinés.
Quelle jouissance quand il me brandit comme un sceptre au-dessus de la femme attachée au montant de notre lit complice. Plus je me léchais les lèvres, plus mon envie brûlante noyait ses doigts cramoisis.
Quel homme ! Foin de souffrance, il goûtait, testait mes baisers qu’il allait offrir à son amour qui déjà se cabrait, se tendait vers nous.
Puis ce fut les préliminaires, mes préliminaires. Je la couvris de baisers en commençant par les pointes de ses mamelons tendus, gonflés, prêt à exploser. Je les recouvris d’une gangue de pure douleur. Nouvelles ruades de mon aimée, elle râlait, elle suait, elle criait qu’elle nous aimait, moi... et mon homme.
De circonvolutions en circonvolutions, je la mordis de mes petites dents de soufre. Mon jus bouillonnant laissait des balafres vermeilles à la cicatrisation instantanée.
De petites touches en petites touches qui la firent se tendre comme une voile sous la tempête, J’arrivai devant ma destiné, devant l’éteignoir.
Elle haletait, elle connaissait ma position, mes envies. Elle subodorait les souffrances à venir, le plaisir qu’elle en retirerait. Elle s’en délectait...
Puis vint ce moment de gloire, cet éternuement du temps qui fit de moi une verge chaude et luisante, un roi païen.
Là, mon homme me fit faire une pause, mais ma flamme était toujours gaillarde et mon sperme écarlate menaçait de déborder. Mon bienfaiteur m’inclina. Confrontation directe, tête à sexe, sexe à tête... et du con à l’anus, mon jus recouvrit entièrement son intimité. Tremblement de chair, séisme et hurlement, jouissance pure... Et je la pénétrai et jamais ma mèche ne s’en rallumera. Je la possédai en son sexe, entre ses reins, entre ses dents, entre ses seins. Je la pénétrai cent fois, mille fois, elle a joui, me noyant à son tour... et le retour express à la lumière, chute vertigineuse, le plancher, atterrissage douloureux, le sommier, l’oublie... et plus tard, la cheminée. Pauvre relique dans une soucoupe. Pauvre petite chose à la fonction détournée. Je voulus me prendre pour un Dieu et me suis brûlé le nez. Ce n’était pas moi qu’elle aimait...

Par Artemis - Publié dans : Eclats de vous
Ecrire un commentaire - Voir les 14 commentaires
Isabelle s’indigne.

_ Thomas !!! Tu comptes me laisser longtemps comme ça ?
Thomas ne répond pas, il savoure ce qu’il a devant les yeux, pour la première fois de sa vie. Il se dit qu’il était à des kilomètres de penser que son petit détour serait aussi réjouissant.
Isabelle se tortille, elle essaie de se détacher.
Regarder ces jolis globes danser devant ses yeux fait monter une bouffée de désir à Thomas. S’il s’écoutait, il goûterait ces fruits si tentants. Mais il se doit d’intervenir rapidement s’il ne veut perdre son crédit.

Thomas saisit Isabelle.

Son bras gauche enroule sa taille pour la maintenir en place. Il l’oblige ainsi à se cambrer et à offrir ses fesses à la main qui va sévir. Isabelle tressaille. Thomas prend connaissance des fesses d’Isabelle, il découvre le grain de sa peau par quelques douces caresses. Isabelle se détend, et au moment où elle s’y attend le moins, une claque s’abat sur sa fesse gauche aussi tôt suivie par une sur la droite. Pas faire de jalouses, surtout !

Isabelle se contracte.

Elle a été surprise par la sècheresse de cette main, par le bruit de sa peau nue qui résonne dans le jardin silencieux. Cette main elle aussi surprise, elle n’a pas l’habitude. Elle a aimé ce contact, elle n’est pas certaine d’avoir bien saisi la sensation. Elle s’envole, prend son élan et plonge à nouveau sur le fessier offert, à droite, à gauche, à gauche à droite. La croupe d’isabelle commence à chauffer, elle gigote, essaie d’esquiver écarte les jambes, sautille d’un pied sur l’autre, laissant ainsi entrevoir son intimité luisante, montrant ainsi le plaisir qu’elle commence à ressentir.

Thomas suspend son geste.

Il regarde ces deux globes devenus si rouges, si beaux, si luisants.
Sa main se pose, douceur, effleure cette peau si douce, si chaude. Isabelle se détend. Thomas est soudain empli d’une émotion - passion pour cette planète fendue. Sa caresse se fait plus précise. Il glisse sa main entre les deux globes, Isabelle se cambre davantage, comme en attente. Thomas glisse un doigt inquisiteur entre les lèvres gonflées d’Isabelle. C’est doux, c’est chaud, c’est humide et accueillant.

Isabelle gémit.



Par Artemis - Publié dans : Eclats de Plume
Ecrire un commentaire - Voir les 18 commentaires
On me demande souvent pourquoi, j’ai choisi ce pseudo. Je pourrais répondre simplement parce que j’aime la sonorité, parce qu’il rime avec mon diminutif, parce que j’aime la mythologie.
J’ai choisi de sonder mon âme et tenté d’expliquer le pourquoi du comment, nous nous sommes reconnues Artémis et moi.

Quand j’ai créé ce blog en septembre dernier, je n’avais pas choisi ce pseudo. Il s’est imposé à moi au fil du temps. J’avais joué la simplicité et utilisé mon diminutif et puis …. Des évènements personnels ont fait que je me suis vue obligée d’en changer, pour préserver mon jardin secret. Nous ne nous connaissions pas encore Artémis et moi.

Je cherchais depuis quelques temps à trouver un nom à ma maison, un nom de planète qui soit le refuge de mes rêves, de mes passions et de ma sensualité. Je voulais une planète qui me ressemble qui soit d’eau parce que j’aime l’eau ou rouge parce que j’aime le rouge. Une planète où la nature serait très présente, j’aime l’espace et la liberté. Comme planète d’eau, il y a la Terre bien sûr mais elle est bleue et puis elle est trop réelle pour être mon refuge secret. Il y a Mars, la rouge, mais elle n’a pas d’eau. Il n’était pas encore question de relation entre Artémis et moi.

Et il y a eu ce jour où il m’a dit que je lui faisais penser à une déesse, Artémis, parce qu’elle est une déesse et une Naïade. Jacques Lacarrière dans son Dictionnaire amoureux de la mythologie nous décrit le tableau du peintre allemand Lucas Cranach  le Repos de Diane, dont le carquois de chasseresse pend à un arbre proche. Diane (Artémis) y est représentée, nue, à proximité d’une source sourdant d’un grand rocher.




Bouchet quand à lui,la représente aussi au sortir du bain en charmante compagnie.


Elle se plaisait dans les champs, dans les bois et près des sources 
Coureuse des bois, sauvageonne insoumise et fière, Artémis appartient avant tout au monde sauvage. Artémis, encore appelée « la radiante », est aussi celle qui guide les égarés, les étrangers, ou les esclaves en fuite au cœur de la nuit. Aussi Artémis porte-t-elle en latin  le nom de Trivia, « celle qui éclaire la route aux carrefours de la vie ». C’est alors que nous nous sommes apprivoisées Artémis et moi.

Evidemment, nous sommes différentes, elle chasse le gibier … Pas moi. Elle est vierge et symbole de chasteté … Pas moi.
Mais Elle aime la nudité … Comme moi. Elle est insoumise … Comme moi. Elle guide les égarés … Comme je le fais, moi aussi à ma façon, d’en l’espoir d’un monde meilleur.
Elle est Elle, et je suis, moi. Mais nous sommes alliées Artémis et moi.
Par Artemis - Publié dans : Eclats de moi
Ecrire un commentaire - Voir les 23 commentaires
Quand j'ai écrit ce poème, je ne connaissais pas Cyril . J'ai découvert ces toiles et j'ai choisi celle -ci pour l'illustrer. Je ne savais pas que je le publierai le jour de son anniversaire !!!! 
Bon Anniversaire Zé

Je voudrais être le sable qui abaisse tes paupières,
T’endormir pour que ta route soit douce et légère.
Je voudrais qu’aujourd’hui soit encore hier.
J’ai de l’eau dans les yeux et mon cœur se serre.
 
Je voudrais remonter les aiguilles du temps
Penser qu’aujourd’hui n’est pas le présent.
Que nos demains seront des maintenant
Que ton départ ne soit que semblant.

Tu m’as emmenée dans des contrées oubliées
Fuyant ainsi ma vie réglée et bien rangée.
Si je pouvais hypnotiser ce maudit sablier
Rester dans tes bras toute une éternité.

Tes mains, ta bouche avec tendresse
A fait jaillir de mon corps en liesse
L’eau divine des plaisirs caresses.
Pourquoi faut-il toujours que cela cesse ?

Mais qui parle de cesser, sensibilité.
Il le faut, pour mieux recommencer.
L’eau de mes yeux s’est asséchée.
Je rêve de toi, sur mes genoux, penchée.

Copyright © Artemis. Janvier 2007
 

Photo : nu-marie-au-fond-blanc.-huile-sur-toile.-100x50-cm.-2005.-collection-particuliere.jpg
 
Peinture de Cyril Leysin
 
Par Artemis - Publié dans : Eclats de Poésies
Ecrire un commentaire - Voir les 22 commentaires

Calendrier

Novembre 2024
L M M J V S D
        1 2 3
4 5 6 7 8 9 10
11 12 13 14 15 16 17
18 19 20 21 22 23 24
25 26 27 28 29 30  
<< < > >>

Eclat-titudes

 

Droit de reproduction

Tous les textes présentés dans ce site
m'appartiennent et ne doivent être
reproduits en aucun cas et sous aucune
forme que ce soit sans mon autorisation.
Si vous désirez en publier un sur votre
site ou ailleurs ou si vous souhaitez
simplement m'écrire.

eclatsdemoi@yahoo.fr

Il me fera plaisir de vous répondre.
Merci de votre comprehension
et de votre respect !


 


 

Les images et photos utilisées
outre les miennes sont glanées
sur le net et leur auteur est
toujours indiqué.
Si l'une d'elle vous appartient
et que vous voulez que je la
retire
écrivez-moi.
Je le ferai aussitôt.

 


Mon site de prédilection




Et son forum


 J'aime et j'y écris :






Des textes inédits 
Chez  l'Eronaute

 

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus