J'ai publié ce récit, il y
a un peu plus d'un an , ailleurs ... J'ai choisi le titre en lisant ces mots que m’avait
laissé un forumeur au bas de l'un de mes posts.
Un message sur mon livre d'or m'a fait savoir que j'avais oublié de vous relater ce récit.
Récit que je dédie à toutes celles et ceux qui n’ont pas encore osé franchir le pas. Qu’ils sachent qu’ici je n’ai
rencontré que des fesseurs charmants et attentionnés, que je remercie au passage, ils se reconnaîtront, et qu’il faut OSER.
Oser c’est vivre …. Tout simplement …
Déjà cinq mois que je vivais dans un désert fessophile sans nom, des souvenirs heureux plein la tête et des rêves de récidive.
Des contacts, des échanges, certes mais toujours cette situation géographique inconfortable qui ne facilite pas les rencontres.
Et puis, le retour du printemps, des routes plus faciles à parcourir et une visite qui s’annonce, enfin…
Je dis enfin, mais j’ai la trouille moi ! Bah oui, j’ai adoré ma première, ma deuxième fessée, mais là je vais vers l’inconnu …
Est-ce que je vais apprécier cette fois ? Tout est différent … et les souvenirs marquant de mes premières
expériences m’interpellent …
Allons, courage ma fille ! Ce Monsieur n’est pas un monstre, tes amies te l’auraient dit.
Alors ce vendredi matin, j’ai pris ma petite voiture rouge, discrétion assurée ! Et je me suis dirigée vers le lieu
de cette rencontre.
Après un petit déjeuner sympa entrecoupé de mes incessants bavardages, (Qui a
dit que j’étais bavarde ?), Monsieur a changé de ton, il s’est fait sévère.
J’ai oublié de vous préciser que nous avions monté un scénario, j’étais la femme de chambre et lui le patron !!! C’est simple, je hais le ménage et je ne m’épanouis pas dans cette rubrique
de la vie domestique, autant dire que c’était la punition assurée.
Mais c’était mal me connaître, un scénario … ça ne me pas tenir avec moi … j’ai éclaté de rire en entendant ces phrases sévères, impossible de reprendre mon sérieux.
Du coup, il a employé les grands moyens et me voilà couchée en travers de ses genoux et il a commencé à me claquer le postérieur sur mon jean.
Morte de rire, je suis, il n’apprécie guère mon impertinence, mais… je ne peux pas me retenir, une façon de libérer le
stress de l’angoisse ? Du coup, il me fait mettre debout et me demande de retirer mon
pantalon de suite.
Oups, je n’ai plus le choix là, je sais que les choses sérieuses vont
commencer. Me voilà devant lui en petite culotte, et aussitôt rebasculée dans la position précédente, et là les claques se succèdent avec une intensité qui monte Crescendo. Ça chauffe, ça brûle,
ça pique, je ne ris plus du coup et je me dis en moi-même … « J’avais oublié que ça faisais si mal. »
Je bouge les jambes, comme si je voulais me sortir de cette position inconfortable et me soustraire à cette douche de feu. Impossible, il me maintient solidement et continue avec application,
tantôt vite tantôt doucement, je ne sais plus quand ça va tomber. C’est agaçant, mes sens sont en éveil, comme à l’affût, que va-t-il se passer ?
Le voilà qui s’arrête, il baisse ma petite culotte, dernier rempart fragile entre ma peau et sa main, et reprend la
cadence infernale.
J’ai chaud, très chaud ma respiration se fait plus forte. Je suis humide
de partout, Quand je sens mon soutien-gorge se détacher, et mon débardeur se retirer, je n’ai pas d’autres réflexes que de tendre les bras pour faciliter l’enlèvement. Ma culotte quant à elle,
a quitté depuis longtemps mes chevilles, tellement j’ai gigoté.
Je suis
nue comme au jour de ma naissance sur les genoux de cet homme, que je vois pour la première fois. Trouble, émotion …
Les claques cessent et la main se fait caresse. Un bonheur inexplicable. Comment une main peut-elle tour à tour se faire sèche et cinglante et aussitôt après tendre et douce ? Un doigt
inquisiteur qui vient vérifier si besoin était l’état d’excitation dans le quel je me trouve. Mince, je suis démasquée.
Pour la première série, ce doit être suffisant, mes fesses sont bien rouges, elles brillent.
Regret, pas d’appareil photo pour garder souvenir de cette jolie couleur… Ca fait plaisir de s’entendre dire ça, je
devais être aussi rouge sur ma figure du haut que sur celle du bas !!! Mon tendre fesseur n ‘est
pas là pour me traumatiser, mais pour mon plaisir et pour le sien. Après la séance fessée, une
séance pommade-massage…. Bonheur ! Pause, Monsieur m’ordonne d’aller au coin, les mains sur la
tête. « Grrr, j’aime pas ça. » Dis-je entre mes dents.
« Comment ?
Répète ! » Répond-t-il ?
« Je n’aime pas
ça ! »
« Je ne te demande pas d’aimer, c’est moi qui décide. Tu n’as pas
intérêt à bouger, sinon je claque. »
Imaginez, comment ne pas bouger, quand vous avez les jambes en coton. Bien sûr, je n’ai pas pu et quelques claques supplémentaires sont venues s’abattre sur mes fesses ainsi
exposées.
Non content de m’empêcher de bouger, le voilà qui me demande de réciter le corbeau et le renard … sans erreur !!! Ce n’est pas gagné d’abord ! Vous avez sans aucun doute deviné que
chaque erreur s’est trouvée sanctionnée par quelques claques supplémentaires.
Changement de programme, il me dirige sur le lit et me voilà à plat ventre, j’aime cette position, allez savoir pourquoi ? Et voilà un nouveau jeu, il me demande de compter jusqu’à 100 en ne
disant que les nombres impairs !!! Et moi, re-fou rire, impossible de compter, je sais d’avance que je ne vais pas y arriver, que c’est peine perdue …
Il me dit : « si tu te trompes, je recommence »
Je ne vous cache pas qu’il a recommencé à zéro une bande de fois, il a fini par compter lui-même, j’ai bien essayer dans
ma tête de compter les claques qui tombaient, à gauche à droite, à droite à gauche, mais c’est impossible ce truc … Le rythme est trop rapide ou trop lent, c’est
trompeur !!! Et puis, ça brûle … La concentration est impossible, je suis ailleurs …
J’en peux plus là, mais je ne dis rien, j’écarte les jambes, je bascule le bassin de gauche à droite comme pour éviter ce qui est inévitable. La position varie, il me met sur le dos, me maintient
les jambes en l’air, en position ‘diaper’. Curieux j’ai découvert ce mot deux jours avant sur le forum ( de Discipline Domestique ) et j’expérimente. Personnellement ce n’est pas ma tasse de thé,
ceci dit en passant. Me revoilà sur le ventre, le compte n’est pas atteint, sans doute. J’ai chaud encore, j’ai chaud autant à l’extérieur qu’à l’intérieur, et puis l’orage s’arrête et une
nouvelle séance de pommade- massage … Bonheur … le froid du gel sur mes fesses en feu, c’est … bon.
Une petite pause casse-croûte plus tard, mon fesseur me fait une proposition, honnête !
Il m’annonce une série de fessées moins fortes mais très longue et me demande si je suis prête. La douleur passée est
moins vive, et l’envie est là qui me tenaille le bas du ventre. Oui, je suis prête. Je sais que je ne renoncerais pas.
Il m’installe en travers de ses genoux les mains au sol et les jambes pendantes, ainsi exposée il a vue pleine et entière
sur mon intimité, et commence sa série lentement. Je sens monter la chaleur sur mes fesses et dans mon bas ventre. Je ne sais plus où j’habite, mes cuisses s’ouvrent, je perds l’équilibre mais
les claques ne cessent pas, elles se font plus fortes mais je n’en ai cure. Les mouvements incontrôlés de mon bassin font que les claques quelque fois tombent au milieu de mes cuisses provoquant comme une électricité en moi. Je
manque d’air, ma respiration s’accélère, je cramponne le tissu du lit d’une main, l’autre étant par terre, je ne peux plus retenir mes cris. Un orgasme violent me fait exploser. Je pleure. Il m’a
eu….
Il a su me donner ce que j’attendais et n’a pas été déçu non plus ; je crois. Il
m’a dit que j’étais une partenaire formidable car je vivais vraiment la fessée.
Comment ne
pas la vivre, comment cacher ses sensations, ses émotions ? Je ne triche pas moi, je vis … Tout simplement.
Le temps de reprendre mon souffle, pour vous dire que je ne connais pas les termes pour décrire cette sensation,
peut-être est-ce cela la fessée orgasmique ?
Habitant dans la grande Ovalie, je vais
emprunter cette expression au langage des rugbymen ‘un essai doit être transformé pour être validé’ pour vous dire que maintenant je sais, je sais, je sais que toujours
j’aimerai !
Je voulais vous le dire que qu’à votre tour vous OSIEZ vivre. Un bonheur ne se laisse pas passer…
Vos impressions