J'aime beaucoup cette version... Je m'imagine très bien en train de la chantonner...

Et pis je n'avais pas eu le temps de te le dire, mais c'est un très beau site...très agréable à lire tant par tes écrits que par la mise en forme

Bonne continuation

Bizz

dis moi, tu en fais de belles chansons Kokine!

bises

voilà des mots qui mettent en joie dès le petit jour!

Bises

Arthi

eh bé, Chris...

Joli comptine, que l'on fredonnerait presque sans s'en rendre compte à la place de l'autre... Il faut que je fasse attention, j'ai un petit bonhomme au CP et la confusion serait terrible s'il m'entendait la chantonner sous la douche, voire la brailler à tue-tête, comme une chanson paillarde.

Parce qu'il y a là-dedans un aspect Rabelaisien selon le ton que l'on prendrait à l'entonner, d'une voix de femme douce et murmuranteà la Charlotte Gainsbourg , ou bien reprise en choeur façon Patrick Sébastien ("le petit bonhomme en foutre") par des soiffards en goguette et en bande (!), la nuit dans une taverne.

Et joli blog, encore une fois, manquant peut-être un peu d'images à mon goût. Mais ce n'est que MON goût...

J'ai du parcourir cinq pages avant de trouver ce joli texte très évocateur, cinq pages truffées de perles qui ont fait battre mon coeur et gonfler ma... Libido. Tu as brisé ma fin de journée... Je souffre... (sic and lol)
Petit cadeau extrait de mon futur recueil de poésies légères et coquines.



Le nœud de la vie

On me loue, me porte aux nues, on me harcèle
Des chansons, des poèmes me rendent hommage
Je suis le tout, le noyau de la pensée universelle
Je suis le tout, la matrice, l’instrument du clonage

Je suis le premier sillon, la première récolte
Je suis Pandore et sa boîte, je rends fou
Je suis upsilon, le je, la première révolte
Je suis le chantre des queues que je bafoue

Je suis l’âcre odeur du soufre
Je suis l’organe de tous les sens
Je les plonge au fond du gouffre
Quand je refuse, lors d’abstinence,

Mais je suis aussi l’odeur du printemps
Je suis sa fleur, son bouquet de senteur
Je m’ouvre à la lumière du cierge blanc
J’exhale de divines fragrances, je suis chaleur

Quand une âme en acier trempé, en mon cœur
Se perd, Lorsque éperdue, elle en fait son logis
Je m’épanche, je noie, tant que dure ce labeur
Insatiable, je me tends, me détends, m’élargis

Accorte, du bout des lèvres, je lui dis merci
À demi-morte, je le gratifie d’un long baiser
Une succion humide d’où naîtra un lit
Un terreau fertile... Le berceau de l’humanité.

GP

Bisous, bises, baisers et foutrement plus encore.............Piotr

Coucou Artemis, Mamour a parfaitement raison et je neregrette absolument pas de t'avoir donné ce conseil.

Ces confidences au clair de la lune ont de quoi faire pâlir les étoiles qui regrettent amèrement de se trouver hors de portée de cet amant désireux de ranimer leur flamme.

Bises et bonne soirée,