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Vous êtes
promeneurs à être venus
me rendre visite depuis septembre 2006.
Un nombre c'est bien ,mais c'est pas très
causant ... Mec lecteurs d'où venez-vous ?
Le 20 octobre 2007, j'ai mis cette carte
pour mieux vous connaitre.
Citation
"L'érotisme est l'une des bases de la connaissance
de soi, aussi indispensable que la poésie."
Je les ai rencontrés sur OB
Guts ou le royaume de la
chaleur
Référencement
Erotisme sur BIG-annuaire
Annuaire de l'érotisme
L'annuaire de l'elfe de la forêt noire .
L'annuaire de didinath
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Les images et photos utilisées
outre les miennes sont glanées
sur le net et leur auteur est
toujours indiqué.
Si l'une d'elle vous appartient
et que vous voulez que je la
retire, écrivez-moi.
Je le ferai aussitôt.
Mon site de
prédilection
Et son forum
J'aime et j'y écris :
L'érotisme n'est -il pas indispensable à la vie ?
Merci mon Ami .... Pour tes mots et pour être toi aussi un homme qui sait faire concilier fessée et tendresse ...
Bises affectueuses
Merci Sarahh, ma fidèle visiteuse ...
Faire rimer fessée avec bonheur
N’était ce pas une gageure?
Mais tu fais ça avec le cœur
Résultat : je n’ai même plus peur.
Coquine, je demanderai presque
A goûter à ton ivresse !
Copyright © Arthémisia
Choisis celui qui t'inspire confiance
Il saura te donner avec tendresse
Une bien douce jouissance ...
Bises ma belle Arthi et merci pour ce poème ...
Décidément, Chantal Thomas avait raison de remarquer que la fessée est essentiellement poétique.
Mettre le feu aux sens, n'est ce pas l'essence même de la fessée ?
J'irai tourner un peu les pages quand un peu plus de temps devant moi.
Bienvenue dans ma maison ... Reviens quand tu veux ...
La badine
Maîtresse ! Appelez-là : Maîtresse
A genoux, implorez ses caresses
Quelle morde vos jolies fesses
Et que débute la grand-messe
Papesse ! Appelez-là : Papesse
Sur le dos, profitez de son hardiesse
Faite preuve de quelques souplesses
Quelle vous blesse avec finesse
Diablesse ! Appelez-là : Diablesse
Fine badine, longiligne prêtresse
Écartelées, à la merci de son allégresse
Criez, jouissez de sa volée vengeresse
Ivresse ! Appelez-là : Ivresse
Si vous succombez à ses largesses
Si vous gagnez laffection de cette tigresse
Surtout, noubliez pas les... compresses
Bisous, bises, baiser et foutrement plus encore..........Piotr
Ce poème mérite une place plus importante que dans le commentaires ...
Ravie que mon modeste blog t'inspire ...
Ce texte est un léger délice.
Merci.
Mémoire dune bougie
Je me souviens quand je suis devenue homme, quand il tronqua sa condition et me permit dendosser sa fonction.
Jétais une jolie bougie rouge, de belle taille... Hum, peut-être pas de la stature dun cierge, mais plutôt dune fort belle chandelle...
Je me souviens de ce sentiment de puissance, de pouvoir qui minonda, moi, simple flamme parmi les flammes, insignifiante flammèche qui allait dompter un volcan.
À lheure où je vous parle, je ne suis plus que le flamboiement dun souvenir, un moignon de paraffine rougeâtre, calciné et déformé posé sur le rebord de leurs consciences, mais, je me souviens...
Un tête-à-tête amoureux, des plats raffinés.
Un tête-à-queue damourette, des jeux paraffinés.
Quelle jouissance quand il me brandit comme un sceptre au-dessus de la femme attachée au montant de notre lit complice. Plus je me léchais les lèvres, plus mon envie brûlante noyait ses doigts cramoisis.
Quel homme ! Foin de souffrance, il goûtait, testait mes baisers quil allait offrir à son amour qui déjà se cabrait, se tendait vers nous.
Puis ce fut les préliminaires, mes préliminaires. Je la couvris de baisers en commençant par les pointes de ses mamelons tendus, gonflés, prêt à exploser. Je les recouvris dune gangue de pure douleur. Nouvelles ruades de mon aimée, elle râlait, elle suait, elle criait quelle nous aimait, moi... et mon homme.
De circonvolutions en circonvolutions, je la mordis de mes petites dents de soufre. Mon jus bouillonnant laissait des balafres vermeilles à la cicatrisation instantanée.
De petites touches en petites touches qui la firent se tendre comme une voile sous la tempête, Jarrivai devant ma destiné, devant léteignoir.
Elle haletait, elle connaissait ma position, mes envies. Elle subodorait les souffrances à venir, le plaisir quelle en retirerait. Elle sen délectait...
Puis vint ce moment de gloire, cet éternuement du temps qui fit de moi une verge chaude et luisante, un roi païen.
Là, mon homme me fit faire une pause, mais ma flamme était toujours gaillarde et mon sperme écarlate menaçait de déborder. Mon bienfaiteur minclina. Confrontation directe, tête à sexe, sexe à tête... et du con à lanus, mon jus recouvrit entièrement son intimité. Tremblement de chair, séisme et hurlement, jouissance pure... Et je la pénétrai et jamais ma mèche ne sen rallumera. Je la possédai en son sexe, entre ses reins, entre ses dents, entre ses seins. Je la pénétrai cent fois, mille fois, elle a joui, me noyant à son tour... et le retour express à la lumière, chute vertigineuse, le plancher, atterrissage douloureux, le sommier, loublie... et plus tard, la cheminée. Pauvre relique dans une soucoupe. Pauvre petite chose à la fonction détournée. Je voulus me prendre pour un Dieu et me suis brûlé le nez. Ce nétait pas moi quelle aimait...
Bisous, bises, baisers et bien plus encore...........Piotr
Un vrai régale ce poéme, qui nous ennivre et nous englobe entièrement..............
Je vais m'endormir en pensant à lui!!!!! a votre poème
bises
louise
Ils disent, très bien et très joliement, que dans toute fessée érotique il y a rêve de discipline, et dans toute fessée punition également tendresse, jeu et plaisir.
Magnifique et émouvant