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Le 20 octobre 2007, j'ai mis cette carte
pour mieux vous connaitre.

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"L'érotisme est l'une des bases de la connaissance
de soi, aussi indispensable que la poésie." 

 

 
Anaïs Nin, Etre une femme et autres essais.

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~ Il y a  1  promeneurs sur Over-Blog dont   1  curieux sur cette planète ~


Je n’ai pas la prétention de faire une merveille, j’ai juste envie de vous faire partager un peu de moi, quelques ‘éclats’ de moi.

Mes écrits, mes lectures, mes états d’âmes ou mes coups de colère, j’ai envie de vous faire plaisir et de me faire plaisir.

Si vous passez me voir et aimez ne serait-ce qu’une histoire, un poème ou un simple mot.

J’aurai gagné et je vous en remercie.

 

 

De moi à vous
Eclatez-vous
De vous à moi
Ecrivez-là

 
J’ai des mots à fleur de cœur
Qui buttent sur mes lèvres closes.
J’ai des mots couleur bonheur
Qui dansent sous mes paupières closes.

Mon cœur crie, le silence résonne.
Comment décrire le mot désir ?
Mon corps se rappelle, frissonne
Se laisse aller au souvenir plaisir.

d'après Rousset 2001

Mon esprit s’envole, déluge de sensations.
Je ne peux l’empêcher de vagabonder.
Ta main dessine des marques passion
Sur mes fesses à ta justice, livrées.

Tes mains se font douces et tendres
Quand le juste châtiment est achevé.
Je ne peux que me laisser prendre
Dans le tourbillon de mon désir caché.
 
Je me perds dans tes yeux, je vis
J’ai l’impression de fondre en toi.
Je me sens bien, c’est ça la vie
Un moment unique entre toi et moi.

Un moment que j’aurais voulu éternel
Un jour de plus de vingt quatre heures
Pour écrire entre terre et ciel
Toute la gamme de la fessée bonheur.



Par Artemis - Publié dans : Eclats de Poésies
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Le téléphone sonne inlassablement. Personne ne répond. Thomas s’impatiente. Et si elle n’était pas là. Non, ce serait trop bête. Pour une fois qu’il passait près de chez elle. Il aimerait tant la revoir.

Isabelle se presse.
 
Elle se demande qui peut bien l’appeler avec tant d’insistance. Tout le monde sait bien qu’elle est occupée à préparer son prochain voyage. Elle n’est là pour personne. Ses affaires sont disséminées dans toute la maison, elle fait l’inventaire pour faire ses valises. Elle monte quatre à quatre les marches qui la sépare du téléphone.

Isabelle décroche.

_ Allo  dit-elle légèrement essoufflée.
_ Bonjour Isa.  C’est Thomas. Tu vas ? 
_ M’en parle pas je suis débordée, comme d’hab, et toi ? 
_ Cool, je suis de passage dans ton bled, je passerai bien te faire un bisou. 
_ Viens quand tu veux, mais regarde pas l’état de la maison. Je prépare mes bagages et il y en a partout ! 
_T’inquiètes ! Je ne viens pas pour passer l’inspection, je viens pour te voir ! 

Isabelle raccroche.

Thomas ne tardera pas à arriver. Il est au coin de la rue, il sort de al cabine téléphonique.
Il est heureux de revoir Isabelle. Il savait qu’elle serait contente de le revoir.
Déjà deux ans qu’ils avaient terminé leurs études. Chacun avait pris sa route. Il était resté en région parisienne, elle avait choisit de vivre à la campagne.
Une carte postale à l’occasion des vacances, quelques coups de fils échangés. S’ils ne s’étaient pas perdus de vue, la vie ne leur avait pas donné l’occasion de se revoir.
Ils s’étaient promis que le premier qui aurait l’occasion de croiser le chemin de l’autre, il le ferait.
Aujourd’hui, Thomas se rend en séminaire dans le sud de la France. Il emprunte l’autoroute qui passe non loin d’où habite Isabelle. Il ne peut pas ne pas venir. Elle lui arracherait les yeux si elle le savait.

Thomas roule doucement.

Il se rappelle. Isabelle était une jeune fille pleine de vie, qui riait toujours. Elle n’était pas la plus jolie de l’université, mais sa gentillesse faisait d’elle une camarade très appréciée.

Isabelle s’interroge.

Elle est super ravie de revoir Thomas. Elle se rappelle un garçon tendre et charmant. Ils parlaient souvent, tous les deux, en sirotant un café à la cafétéria de l’université. A-t-il beaucoup changé durant ces années ?
 
La sonnette de la porte d’entrée retentit. Isabelle ouvre à son ami. Thomas est là, devant elle, dans son beau costume bleu. Ses cheveux blonds brillent dans le soleil matinal.
 
Elle n’est vêtue que d’un long tee-shirt laissant dépasser deux jambes fuselées déjà teintées par les premiers rayons du soleil.
L’air frais fait aussitôt jaillir la pointe de ses seins.

Thomas est médusé par ce charmant spectacle, la gentille étudiante est devenue une bien belle jeune femme. Isabelle est stupéfaite de l’allure classe de son ami. Elle a quitté un adolescent et retrouve un homme bien séduisant.

Isabelle est troublée.

Va-t-elle restée là immobile sur le pas de la porte ? Ne va-t-elle pas le laisser entrer ? 

(à suivre)
Par Artemis - Publié dans : Eclats de Plume
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Mon premier bain de minuit
 
Il y a bon nombre de lunes, je campais en Bretagne.
Un petit terrain de camping, deux canadiennes et deux jeunes hommes pour moi toute seule.
Pas envie de faire à manger, mais une envie de galettes, de crêpes et de cidre. Une envie de se faire plaisir.
Quelques kilomètres à pieds pour se rendre au village le plus proche. Pourquoi prendre la voiture alors que la côte est si belle ?
L’ambiance était détendue, les galettes appétissantes et le cidre se laissait boire.
Il faisait déjà noir quand nous avons repris le chemin en sens inverse. Un peu émoustillée, en longeant la mer, il faisait encore bon, je leur lance :
_ Et si on prenait un bain?
_ Ca va pas ! On n’a pas nos maillots ?
_ Bah, et alors ? Un bain de minuit, c’est sans maillot !!!
_ Mais t’es folle, on est en bord de route !
_ On nous verra pas derrière le rocher là-bas …
Mes deux compagnons m’ont traitée de folledingue, mais n’ont pas résisté à l’idée saugrenue que je leur proposai.
J’étais déjà dans l’eau qu’ils n’en avaient pas encore terminé de se déshabiller.
Et quel manque de courage pour y entrer, et quelle crise de fous rire à les regarder si timorés.
Je nageais dans l’eau en compagnie d’algues luminescentes que je dérangeais et j’étais comme entourée de lumière.
Le contact de l’eau sur ma peau nue est un plaisir jamais oublié, un plaisir toujours recherché. L’eau était douce, tiède encore chargée des rayons du soleil.
Quand un bruit de moteur venant de la mer a troublé notre plaisir nocturne, les lumières des phares d’un canot semblaient pointer en direction de notre petite crique … Du moins, nous le pensions.
Il n’est guère bien vu de se baigner nus même la nuit, la maréchaussée pouvait dresser procès verbal … Il ne s’agissait pas de se faire prendre et puis quel était ce bateau ?
Nous n’avons pas pris le temps de nous poser la question et sommes sortis aussi vite que possible pour nous rhabiller en s’essuyant sommairement à l’aide du tee-shirt de l’un des garçons. Nous sommes rentrés au camping en nous disant que décidemment on ne peut être tranquille nulle part !!!
Le lendemain nous avons appris que des trafiquants avaient été arrêtés cette nuit là dans une de ces petites criques … Nous l’avions échappé belle.
Il n’empêche que j’ai toujours envie de retenter cette expérience … Pour le plaisir de l’eau et la poussée d’adrénaline ...
Par Artemis - Publié dans : Eclats de moi
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Je ne sais comment dire 
Je ne sais que choisir
Quand tu verras ces mots
Sera t-il tard ou bien tôt ?

Tu es loin, inaccessible
Te joindre m'est impossible
Alors, je ferme les yeux
Sur mes souvenirs heureux.

Je ne veux pas penser
A ce vide insensé.
Il ne me faut retenir
Que nos moments de plaisirs.

Bild:Klimt Mulher sentada.jpg
Gustav Klimt

Tu es là par la pensée.
Entre mes cuisses serrées
Ma main droite s'aventure
Guidée par ton murmure.

Tu commandes à distance
Provoque ma jouissance
Qu'il est bon de se glisser
Doucement vers la volupté.
Par Artemis - Publié dans : Eclats de Poésies
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