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Le 20 octobre 2007, j'ai mis cette carte
pour mieux vous connaitre.

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"L'érotisme est l'une des bases de la connaissance
de soi, aussi indispensable que la poésie." 

 

 
Anaïs Nin, Etre une femme et autres essais.

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~ Il y a  1  promeneurs sur Over-Blog dont   1  curieux sur cette planète ~


Je n’ai pas la prétention de faire une merveille, j’ai juste envie de vous faire partager un peu de moi, quelques ‘éclats’ de moi.

Mes écrits, mes lectures, mes états d’âmes ou mes coups de colère, j’ai envie de vous faire plaisir et de me faire plaisir.

Si vous passez me voir et aimez ne serait-ce qu’une histoire, un poème ou un simple mot.

J’aurai gagné et je vous en remercie.

 

 

De moi à vous
Eclatez-vous
De vous à moi
Ecrivez-là

 
 
Elle restait pétrifiée, n’osait se mettre en marche. Son instinct lui disait que le chemin ne serait pas simple, elle avait peur.
La voyant hésiter, le chauffeur, de sa main gantée de blanc, lui flatta la croupe et la claqua, comme il aurait fait pour faire démarrer une belle pouliche. 
Comme stimulée par cette tape d’encouragement, elle entreprit de suivre cette voie, trop tranquille pour être honnête.
Elle se retourna plusieurs fois, le chauffeur ne la quittait pas des yeux, sa présence la tranquillisait. Elle fut toutefois,  bientôt hors de sa vue. Les rails s’enfonçaient dans une forêt, elle s’affola … Que se passerait-il si quelqu’un ou quelque chose s’en prenait à elle. Elle était seule. Comment avait-elle pu obéir à ce message ? Elle était folle. Oui, c’est cela, elle était folle, folle de lui.

Les mots, ses mots résonnaient dans sa tête et elle avançait toujours. Un bruit soudain, elle s’arrêta net. Qu’était-ce ? Un garde forestier qui faisait sa ronde et qui fut bien surpris du spectacle qui s’offrait à ses yeux.
« Alors, belle enfant, on se promène ? »
Tremblante, elle répondit qu’elle devait se rendre dans une clairière auprès d’un arbre. Qu’elle en avait reçu l’ordre.
« Fort bien ! Mais vous n’ignorez pas que vous empruntez là une voie privée. Vous ne pouvez poursuivre sans vous être acquittée du droit de passage »
Elle baissa les yeux, son cœur battant la chamade. Le silence régnait alentours. Elle en pouvait s’échapper et personne n’était là pour la sortir de cette impasse. Elle n’avait pas le choix, elle devait se soumettre à la volonté de cet homme.
Il déboutonna la braguette de son pantalon, faisant jaillir son vit déjà en érection.
« Fais moi une belle sucette, ma jolie et tu pourras repartir. »

Elle s’accroupit et prit la queue de l’homme dans sa main et la guida à sa bouche. Sa langue taquina le gland, et joua le long du méat. La douceur de sa langue faisait se dresser ce mat de plus belle. Elle l’emboucha et entreprit de long va et vient.
L’homme sentit son plaisir monter. Il lui appuya sur la tête, donna un coup de rein et enfonça sa bite jusqu’au fond de sa gorge, l’obligeant à avaler son nectar.
Son droit de péage accompli, il l’aida à se relever et la complimenta pour cette fellation en remerciant le hasard de l’avoir mise sur sa route.
« Pour une suceuse, t’es une sacrée suceuse »
Il la remit sur les rails et d’une claque sur les fesses, lui indiqua qu’il était temps pour elle de reprendre sa route.
Quelques minutes plus tard, elle arriva à la clairière et s’arrêta auprès de l’arbre annoncé.
Un jeune femme, nue, sous une robe transparente semblait l’attendre. Elle tenait une longue corde et un bandeau blanc et dit:

Tes vêtements, tu abandonneras,
Le long de l’arbre, tu te mettras,
Tes jambes, tu écarteras
Cette corde, à l’arbre, t’attachera,
Ce bandeau, tes yeux cachera.
Dans ta solitude, tu méditeras.


(A suivre )



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Par Artemis - Publié dans : Eclats de Plume - Communauté : Ecritures Sensuelles
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Elle est partie en ce début de matinée, sans un mot. Vers quel destin impénétrable, ses pas la conduisent-elles ?
Quelle force intérieure ou quelle voix lui imposent de partir d’un pas si décidé en cette tenue ?
Quelle voix ? Sa voix a lui bien sûr, il est le souffle de sa force, il la conduit là où elle doit aller. Ils avaient fait un jeu, la veille au soir, et elle avait perdu. Elle en connaissait les règles. Si elle perdait, elle devrait accomplir le gage qu’il avait choisi pour elle.
Elle ignorait quand. Il lui avait dit qu’elle le saurait le moment venu. Et le moment était arrivé.
Alors qu’elle prenait son petit déjeuner, encore vêtue de sa nuisette, la sonnette de la porte d’entrée avait retenti.
Un coursier lui tendit un pli urgent et attendit. Elle ouvrit délicatement l’enveloppe se demandant ce qu’elle pouvait bien contenir.
Un message avec ces quelques mots.

Ton dos nu noir, tu mettras
De bas noirs, tes jambes, tu gaineras
Tes bottes, tu chausseras.
Docile, mon coursier, tu suivras.

Elle est abasourdie, son cœur bat à tout rompre. Il ne peut lui demander ça. C’est impossible, une erreur sans aucun doute, oui c’est cela, une erreur. Elle s’accroche à cette idée, retourne le papier dans l’espoir de trouver un démenti. Rien. Affolée, elle jette un regard vers l’homme qui stoïquement patientait.
Il lui dit alors : «  Monsieur, a précisé qu’il valait mieux ne pas traîner, que vous êtes attendue et que je devais vous conduire. »
Il ne plaisantait pas. Elle comprit alors qu’elle devait obéir.
Elle ne posa plus de question et alla se préparer conformément à la consigne. Quand elle revint devant l’homme qui l’attendait, elle cachait son sexe avec ses mains, honteuse de se montrer ainsi à un parfait inconnu.
Ce dernier lui tendit alors, une cape noire soyeuse, en lui demandant de la mettre sur ses épaules le temps de se rendre à la voiture stationnée en bas de l’immeuble. Elle la saisit, et d’un mouvement gracieux, elle se couvrit de cette étoffe, libérant ainsi son bas-ventre à l’inconnu qui la regardait d’un œil appréciateur et gourmand.

Il lui ouvrit la porte et la fit passer devant elle. Le tissu léger ne laissait guère de doute à quiconque les croiserait sur sa tenue. Elle était rouge de confusion et avançait d’un pas hésitant.
«  Allons ! » Dit l’homme, « Pressons, nous n’avons que trop perdu de temps, Monsieur ne sera pas content. »
Il la fit entrer dans la voiture sous les yeux stupéfaits de deux badauds qui passaient par là leur baguette sous le bras.
Après quelques minutes de route, il prit un chemin de traverse et arrêta a voiture près d’un entrepôt qui semblait désert.
Une voie de chemin de fer passait à proximité. Les wagons de marchandises étaient à l’arrêt. Nul ne semblait travailler. Le calme régnait. Le chauffeur lui ouvrit alors la portière et la fit sortir. Il retira lui-même la cape qui la couvrait. Il ne lui laissa pas le temps d’ouvrir la bouche et lui dit que c’était les ordres. Il lui donna alors une autre enveloppe.
Fébrilement elle la déchira, tant elle appréhendait les mots qu’elle lirait.

Sur le rail,  tu marcheras,
Droit devant, tu regarderas,
Fière, tu avanceras
Une clairière, tu verras,
Un arbre, au milieu, se dressera
Un nouveau message t’y attendra.


( A suivre )
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Par Artemis - Publié dans : Eclats de Plume - Communauté : Ecritures Sensuelles
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A la question « Avec ou sans poil » vous avez été nombreux à participer, nombreux à exprimer vos préférences en matière d’épilation ou de toison naturelle.
Filles et garçons, avez non seulement répondu mais justifié vos choix. Ce qui a fait d’une simple question une réelle discussion, je vous en remercie. J’ai passé de bons moments à essayer de vous imaginer et vous connaître davantage à travers ce petit sondage.
Vous avez été 46 à donner votre opinion ; 25 garçons et 21 filles … Presque la parité !!!
La majorité des garçons se prononcent pour une toison, 4 ont opté pour l’intégrale. Parmi eux certains l’ont adopté pour eux-mêmes.
Il ressort toutefois de leurs réponses qu’ils aiment assez une épilation maîtrisée, que les lèvres soient lisses et que subsiste un buisson bien taillé.
Il y a aussi ceux qui, aiment le changement, ne rechignent ni sur un type de femme, ni sur l’autre. Ils aiment la femme qui se sent bien comme elle est …
La majorité des filles s’épilent, peu restent naturelles. Un signe des temps ? Une question d’âge ? Tout ceci n’est pas important ce qui compte c’est que chacune s’aime comme elle est.
Comme chez les messieurs, 6 sont adeptes de la pilosité réduite à néant, et là aussi dans ce cas leurs hommes sont pratiquants.
Il m’amuse de constater que le ticket de métro a un franc succès !!!
A la lecture de tous vos commentaires, je constate que les avis divergent mais que chacun et chacune prône avant tout le respect et le bien-être de la personne.
Quelques petits curieux n’ont eu de cesse de me demander ce que je faisais, moi, si je m’épilais ou non.
Voilà donc le moment de vous raconter mon expérience en la matière.
Il y a de cela des lunes et des lunes, j’ai eu l’envie de tester l’épilation intégrale, et je voulais le faire en institut. Je ne voulais surtout pas m’attaquer à cette œuvre seule … Trop peur de me faire mal !!! Beh oui … Cela vous fera sourire mais c’est ainsi.
Oui mais …C’était compter sur la démocratisation de cette pratique, c’est à cela que je faisais allusion en parlant d’effet de mode, hors aucune esthéticienne ne pratiquait ce type d’épilation !!!
Alors j’ai abandonné …
Et puis l’an dernier, j’ai eu l’envie de tester à nouveau, l’été approchait et je me disais que … Alors j’ai franchis le pas … Je me suis donc retrouver aussi lisse qu’au jour de ma naissance …Avec quelques rides en plus !!!

Il s’avère que cela n’a pas été vraiment apprécié par mon compagnon, à ce moment là …
Quant à moi, j’avais découvert de nouvelles sensations lorsque je me caressais … C’était si doux …
L’été a passé je n’y suis pas retournée … Pas grave cela n’avait pratiquement pas repoussé. Le jour où j’ai revue mon esthéticienne, je lui ai dit que j’aimerais bien quelle me laisse les lèvres lisses mais qu’elle me laisse un petit buisson sur le pubis … Pas un ticket de métro, je n’aime pas, personnellement …
Oui mais … La pauvre jeune femme fut bien ennuyée, elle aurait bien voulu  me satisfaire sauf que … Elle me dit alors : «  Mais ma pauvre dame, comment voulez vous ? Vous n’avez pas de poil là où les autres femmes en ont !!! Ce sera ridicule ce que je pourrais laisser »
Et voilà ce qu’il arrive à quelqu’un qui comme moi est fort peu fournie par dame nature …
Alors j’ai choisi de jouer avec ma toison qui semble se fournir au fil du temps, à cause de mon traitement médical, comme Cat peut-être …
? Au gré des saisons … Ainsi donc à l’instar des animaux je prends mon pelage d’hiver au naturel et me déshabille quand vient les beaux jours ….
Et mes partenaires de jeux ne semblent pas s’en plaindre …Donc tout va bien !!!





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Par Artemis - Publié dans : Eclats de moi
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Aujourd'hui, je laisse la place à un ami blogueur Amour Cuisant dont j'apprécie tant la plume que le blog. Avec son accord, je publie ici un joli texte paru sur son blog au printemps dernier ....
Vous aimez les beaux textes, vous aimez la couleur rouge sur les fesses des filles, allez lui rendre visite ...


Elle l’avait invité pour le dimanche. Ses parents étaient partis pour la journée visiter une lointaine cousine, ce qui tombait bien. Le temps était magnifique, ce qui tombait doublement bien. Il était arrivé en fin de matinée, était entré presque timidement.
- Allons, n’aie pas peur, lui lança-t-elle, ils ne sont pas là. Aujourd'hui c’est répétition générale.
- Avec toi, je me méfie toujours.
Elle était pieds nus, vêtue d’un T-shirt blanc et d’un jean. Ils s’embrassèrent longuement. Elle lui fit faire le tour du propriétaire, n’oubliant pas même le placard à balais. Elle en extirpa une boîte à chaussures remplie de photos de famille qu’elle lui présenta une à une après l’avoir entraîné au salon. Les portes-fenêtres du salon étaient ouvertes sur le jardin, laissant entrer le soleil et le chant des oiseaux. Lorsqu’elle lui tendit la photo de son père, il se leva, s’inclina et dit d’une voix grave :
- Monsieur, j’ai l’honneur de vous demander la main de mademoiselle votre fille.
Elle applaudit la performance.
- Cela mérite une récompense. Je vais t’emmener au saint des saints.
Elle l’entraîna dans sa chambre, qu’elle avait réservée pour la fin de la visite.
- Tu sais que rien n’a changé dans cette chambre depuis que j’ai neuf ou dix ans ? Enfin si, les posters au mur.
- J’ai toujours pensé que tes prétentions révolutionnaires cachaient un profond conservatisme.
- N’empêche, profite : tu vois le lit dans lequel j’ai dormi écolière, collégienne, lycéenne, et ce n’est pas donné à tout le monde.
- Tu oublies “étudiante”, car je suppose que quand tu reviens ici le week-end c’est toujours dans ce lit que tu dors ?
- Oui, tu as raison, j’ai oublié “étudiante”.
- Moi, ce qui m’impressionne le plus, c’est ce bureau où tu as planché écolière, collégienne et lycéenne.
Elle prit place au bureau, prit un crayon qu’elle se mit à suçoter, fit mine de réfléchir à un problème difficile. Puis déclara :
- En fait, je n’y restais pas longtemps. J’ai toujours été très efficace, mon travail est vite fait.
Elle ouvrit les tiroirs, sortit une vieille trousse, un cahier, le feuilleta.
- Tiens, un cahier de récitations. Dis donc, celui-là, il ne date pas d’hier.
- Tu étais bonne en récitation ?
Elle fit une petite moue, hésita :
- Je dois reconnaître que j’ai eu un zéro, une fois.
Elle fit tourner les pages, chercha. Chaque texte était agrémenté d’un dessin.
- Voilà, celle-ci.
Il regarda par dessus son épaule :
- Elle est pourtant facile ! Zéro ?
- Oui, je m’en souviens encore, parce que ça m’a valu un savon.
- Figure-toi qu’il m’est arrivé la même mésaventure, mais en musique, avec un inepte morceau de pipeau, et comme j’ai osé déclarer que le pipeau de toute façon c’était du pipeau, j’ai eu un zéro de conduite en plus du zéro en musique.
- Oh, déjà rebelle à l’époque. Donc toi aussi tu as eu un savon ?
- Plus que ça.
Il se pencha, lui chuchota quelques mots à l’oreille.
- Non ? fit-elle en roulant des yeux incrédules.
- Si.
- J’aurais bien voulu voir ça !
- Cruelle !
- Oh mais si, cela m’aurait permis de te découvrir sous un jour pittoresque et original.
- Tu es une peste sans pitié. Pour te punir, tu vas me l’apprendre, cette poésie. Et si tu te trompes en la récitant...
- Si je me trompe ?...
Il se pencha à nouveau, chuchota.
Elle s’écria :
- Au secours, je vais épouser un fou !
- Je savais que tu n’aurais pas le cran.
- Pas le cran ? C’est ce qu’on va voir !
- Tu relèves le défi ?
- Oui monsieur.
- Tope là !
Ils topèrent.

Elle demanda deux minutes pour apprendre le texte. Il lui en accorda cinq, lui dit qu’il l’attendait au salon. Lorsqu’elle l’y rejoignit, il l’attendait assis sur le canapé. Elle lui tendit le cahier. Il le posa à son côté. Elle mit les mains derrière son dos, prit sa récitation, s’apprêta à commencer.
- Ah non, l’arrêta-t-il. Tu viens t’installer ici.
Il tapota ses cuisses.
- Mais ce n’est pas les termes du contrat.
- Bien sûr que si. Chaque faute sera sanctionnée immédiatement. Et si tu en fais plus de deux, tu auras une prime.
- Bon. Mais je te préviens, je ne tolérerai pas la moindre injustice.
Il mit la main sur le cœur :
- Mademoiselle, soyez assurée que je n’abuserai pas de la situation.
Elle le regarda avec un petit air de défi :
- Et pour te prouver que tes enfantillages ne me font pas peur...
Elle déboutonna son jean et le retira. Elle n’eut pas à hésiter quant à l’opportunité de faire de même avec un éventuel sous-vêtement : elle n’en portait pas. Il l’aida à s’installer en travers de ses cuisses, les jambes et le torse en appui sur le canapé, le plus confortablement possible étant donnée la situation, posa la main droite très doucement sur les fesses charnues et douces :
- Mademoiselle, je vous écoute.

Elle commença.
Il leva la main la première fois en disant :
- Ce n’est pas “l’air”, qui est beau, mais ton cul nu.
- Je voulais dire “clair” et tu es un goujat.
- Tu l’as dit trop tard et de toute façon tu aimes les goujats.
Il claqua la fesse droite, une claque vive et sonore qui provoqua un cri de surprise (“Monstre!”), fit frémir l’orbe du muscle, et laissa apparaître le dessin de ses doigts sur la peau offerte.
Elle poursuivit.
Pour la deuxième fois il l’interrompit :
Il n’est pas question de “caille”, mais de “bête”.
- Reconnais que “caille” irait très bien.
- Là n’est pas la question.
Il claqua la fesse gauche, une claque plus retentissante que brûlante. Le joli cul tressauta comme en signe de remerciement. Elle serra les dents et reprit.
Pour la troisième fois elle se trompa :
- Ils ne “rient” pas, ils “crient”.
Il claqua aussitôt la fesse droite.
Elle cria, elle aussi.
La suite vint avec quelques hésitations, mais sans autre erreur.
Quand elle eut fini, il la caressa longuement, lentement, son dos sous le T-shirt largement remonté, ses cuisses et ses mollets à l’arrondi si doux, les fesses à peine rougies. Il lui rappela :
- Mademoiselle, plus de deux fautes, vous avez une prime.
- Mais, je croyais que c’était justement ce que vous étiez en train de me donner, monsieur ?
- Non, mademoiselle. Votre prime, la voici.
Il la fessa. Une fessée crépitante, primesautière, joyeuse. Elle joua des jambes, se cambra, son joli cul vint boire les claques. Elle riait. Il cessa la fessée. Caressa. Sa main se glissa entre les cuisses, trouva le sexe en rosée. Elle soupira. Se retourna. L’aida à se dévêtir. Ils s’enlacèrent, se nichèrent tant bien que mal sur le canapé, se nichèrent tant bien que bien l’un dans l’autre et firent l’amour comme on le fait au printemps. Juste après le plaisir, elle murmura à son oreille :
“Le temps a laissé son manteau
De vent, de froidure et de pluie,
Et s'est vêtu de broderie,
De soleil luisant, clair et beau.

Il n'y a bête ni oiseau,
Qu'en son jargon ne chante ou crie :
Le temps a laissé son manteau !

Rivière, fontaine et ruisseau
Portent en livrée jolie,
Gouttes d'argent d'orfèvrerie,
Chacun s'habille de nouveau:
Le temps a laissé son manteau !”

Il lui dit, lui aussi dans un murmure :
- Ma parole, mademoiselle, mais vous savez votre récitation sur le bout du doigt ! Ma méthode a donc du bon.
Elle lui tira la langue.
Ils s’embrassèrent.

© Amour Cuisant 2007

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