L’homme, cette voix … En l’entendant la belle captive avait sursauté… Cette voix … Sa voix …
Allait-elle devoir jouir à nouveau en présence de son ami ? Avec une autre personne que lui … Une femme, de surcroît, elle qui disait à qui voulait l’entendre qu’elle n’ aimait que les hommes … Peut-être avait-t-il entendu sa jouissance, peut-être même l’avait-t-il vue ?
Elle s’agite en vain, les liens la maintiennent collée le long de l’arbre, les jambes écartées, entièrement offerte.
Calme-toi, de mal, personne ne te fera
Ta délivrance viendra
Quand Sa volonté s’exprimera.
La belle exploratrice abandonne sa bouche et s’attache à ses mamelons tendus Elle s’agenouille à ses pieds et embrasse chaque parcelle de son corps. Sa bouche douce et ses mains caressantes provoquent en sa compagne improvisée de multiples ondes électriques.
Sa langue s’attache à la fleur dont la corolle épanouie ne laisse aucun doute sur son désir croissant. Elle recueille délicatement le suc qui s’écoule et fait tressaillir les papillons de son bas-ventre.
La belle oublie sa position, oublie l’Homme qui la regarde, elle ne pense plus. Elle n’est plus qu’un corps vivrant de désir et de plaisir. Son souffle s’accélère et elle gémit. Elle semble s’offrir et s’ouvrir à ces caresses nouvelles comme une fleur s’épanouit au soleil du printemps. Elle s’abandonne. Le plaisir intense provoque en elle un torrent de larmes, elle explose...
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Copyright © Janvier 2008
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