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"L'érotisme est l'une des bases de la connaissance
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Eclats de Plume

Isabelle s’indigne.

_ Thomas !!! Tu comptes me laisser longtemps comme ça ?
Thomas ne répond pas, il savoure ce qu’il a devant les yeux, pour la première fois de sa vie. Il se dit qu’il était à des kilomètres de penser que son petit détour serait aussi réjouissant.
Isabelle se tortille, elle essaie de se détacher.
Regarder ces jolis globes danser devant ses yeux fait monter une bouffée de désir à Thomas. S’il s’écoutait, il goûterait ces fruits si tentants. Mais il se doit d’intervenir rapidement s’il ne veut perdre son crédit.

Thomas saisit Isabelle.

Son bras gauche enroule sa taille pour la maintenir en place. Il l’oblige ainsi à se cambrer et à offrir ses fesses à la main qui va sévir. Isabelle tressaille. Thomas prend connaissance des fesses d’Isabelle, il découvre le grain de sa peau par quelques douces caresses. Isabelle se détend, et au moment où elle s’y attend le moins, une claque s’abat sur sa fesse gauche aussi tôt suivie par une sur la droite. Pas faire de jalouses, surtout !

Isabelle se contracte.

Elle a été surprise par la sècheresse de cette main, par le bruit de sa peau nue qui résonne dans le jardin silencieux. Cette main elle aussi surprise, elle n’a pas l’habitude. Elle a aimé ce contact, elle n’est pas certaine d’avoir bien saisi la sensation. Elle s’envole, prend son élan et plonge à nouveau sur le fessier offert, à droite, à gauche, à gauche à droite. La croupe d’isabelle commence à chauffer, elle gigote, essaie d’esquiver écarte les jambes, sautille d’un pied sur l’autre, laissant ainsi entrevoir son intimité luisante, montrant ainsi le plaisir qu’elle commence à ressentir.

Thomas suspend son geste.

Il regarde ces deux globes devenus si rouges, si beaux, si luisants.
Sa main se pose, douceur, effleure cette peau si douce, si chaude. Isabelle se détend. Thomas est soudain empli d’une émotion - passion pour cette planète fendue. Sa caresse se fait plus précise. Il glisse sa main entre les deux globes, Isabelle se cambre davantage, comme en attente. Thomas glisse un doigt inquisiteur entre les lèvres gonflées d’Isabelle. C’est doux, c’est chaud, c’est humide et accueillant.

Isabelle gémit.



Par Artemis - Publié dans : Eclats de Plume
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(précédent)

Thomas parvient à son tour à la porte fenêtre mais d’Isabelle dans le jardin, point. Isabelle n’a pas perdu de temps pour se cacher, lui, ne connaît pas les coins et recoins de cet espace qui n’est pas sien. Il lui faut ruser pour trouver la coquine. Il décide de rentrer, faisant croire ainsi à son désintérêt de ces jeux puérils.
D’un regard circulaire, il détaille cette cour jardin fermée qui ne permet donc aucune échappatoire en dehors de la porte-fenêtre du salon et de la porte du garage.
Il entre, se planque le long du mur et tout en observant les mouvements éventuels à l’extérieur il se déleste de sa cravate en se disant qu’elle pourrait lui être utile.

Isabelle s’étonne.

Elle était pourtant certaine que Thomas s’était levé pour la suivre et il ne vient pas. Elle s’était cachée derrière un arbre, pensant le surprendre, et voilà qu’il lui enlève ce plaisir. Elle sort prudemment de sa cachette et se dit que décidemment les garçons ne savaient pas jouer. Elle est un peu déçue et décide de rentrer à son tour.
Au moment où elle entre sans plus se méfier, il surgit pour l’attraper mais il se prend les pieds dans sa cravate qu’il avait maladroitement laisser traîner. Le voilà qui perd l’équilibre sous les yeux de la miss qui en profite pour s’échapper à nouveau, dans un éclat de rire.

Isabelle est ravie.

Mais cette fois, Thomas l’a vue. Il sait qu’elle va se cacher derrière l’arbre et en quelques enjambées, il est là, bien décidé à empêcher toute nouvelle esquive de la fugitive.
_  Assez joué, gamine, il est plus que temps que je te donne cette fessée méritée.
_  A moi, m’enfin !!! J’ai rien fait …
_ C’est un monde ! Tu me provoques et tu te paies ma tête de surcroît.
_ Allez Thomas, j’ai rien fait de mal, sois cool. On ne s’est pas vu depuis deux ans, tu ne vas pas me donner la fessée.
_ Et comment ! Ici même et maintenant !
_ Non pas ici, les voisins pourraient nous voir.
_ Et alors ? Je ne vois pas le problème.

Thomas ne plaisante plus.
 
Isabelle se rend compte qu’elle est peut être allée un peu loin avec son ami. Elle essaie de l’amadouer une dernière fois.
_ Pardon Thomas. Je ne voulais pas te faire enrager. C’était pour rire.
_ Il n’y a pas de pardon qui tienne, approche. Je ne le répèterai pas.

Isabelle baisse le nez et se dirige lentement vers lui.

Il lui saisit alors les poignets, les attache avec sa cravate et accroche cette dernière à la branche de l’arbre.
Isabelle se retrouve ainsi sans défense, les bras en l’air, à la merci de Thomas. Son tee-shirt s’est relevé, découvrant ses fesses. Thomas ne se lasse pas de ce spectacle. Il fait durer le plaisir.

Par Artemis - Publié dans : Eclats de Plume
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Dans la  première partie des retrouvailles d'Isabelle et de Thomas, j'avais laissé un doute ...
Vous avez joué le jeu et mentionner des suites possibles à cette histoire ...
Je me suis amusée à puisser dans vos idées pour imaginer cette deuxième partie.

 
Thomas se rend compte que la fraîcheur matinale a eu un effet sur la poitrine d’Isabelle. Il ne peut empêcher son regard de glisser vers ses mamelons arrogants. Le vent coquin s’en mêle et fait légèrement voleter le tee-shirt d’Isabelle, laissant apercevoir le haut de ses cuisses. Ce n’est pas sans effet sur Thomas, ni sur Isabelle.

Isabelle rougit.
 
Elle se ressaisit enfin et laisse enfin entrer son ami. Elle ne va quand même pas le laisser là sur le seuil. Ils sont obligés de faire un slalom entre les bagages éparpillés dans le couloir. Elle se retourne pour dire à Thomas de la suivre.
_ Viens, suis-moi au salon, nous allons boire un café et reparler du bon vieux temps.
 Elle ne remarque pas le sac de voyage qui s’est volontairement jeté entre de ses pieds, lui faisant perdre l’équilibre et manquer tomber. Le tee-shirt en a profité pour remonter sur ses reins.

Thomas est stupéfait.

Isabelle ne porte pas de culotte. Décidemment, son amie a bien changé, pense t-il, ce n’est pas pour lui déplaire. Il ne dit rien, l’aide à se relever et ils finissent d’arriver au salon.
Isabelle invite Thomas à se mettre à l’aise. Il retire sa veste, qu’elle dépose sur le dossier d’une chaise.
_ Installes-toi sur le fauteuil, je vais chercher le café.
Elle disparaît aussitôt. Thomas s’assied et l’attend tout en repensant à ce qu’il venait de voir. L’avait-elle fait exprès ? Il avait envie de le croire.

Isabelle revient.

Elle pose le plateau sur la table du salon et s’installe sur le fauteuil qui se trouve face à celui de son ami. Deux ans, qu’ils n’avaient pas partager un café, deux ans qu’ils ne s’étaient vus. Deux ans ? Une éternité. Bien que devenue une belle jeune femme, Isabelle n’a pas changé, elle est restée la même, toujours aussi bavarde. Ils se remémorent leurs souvenirs passés et le temps  passant, Isabelle, s’enfonce dans son fauteuil et écarte sensiblement ses jambes. De son fauteuil, Thomas ne reste pas de marbre en apercevant la petite touffe blonde d’Isabelle.  Son sexe commence à se sentir à l’étroit dans son pantalon.

Isabelle est provocante.

Thomas veut savoir. Isabelle cherche-t-elle à le séduire ? A-t-elle remarqué dans l’état où elle le met ?
_ Isabelle, tu le fais exprès ou quoi ? Tu as vu ta tenue ?
_ Ben quoi, qu’est-ce qu’elle a ma tenue ?
_ Tu me reçois sans culotte et me montre délibérément ton intimité. Ce n’est pas sérieux pour une fille qui reçoit.
_ Mais ….
_ Je trouve que tu exagères, viens un peu voir par ici.
_ Pour quoi faire ?
_ Puisque tu ne caches rien, je veux te voir de plus près.
 
Isabelle éclate de rire.
 
_ Attrapes moi si tu peux !
Et là voilà partie à courir autour de la table. Thomas ne perd pas un instant, il la prend en chasse.
_ Si je t’attrape, je te donne la fessée, chipie.
_ Cours toujours !!!
 Isabelle telle une anguille se faufile et sort par la porte fenêtre et cours dans le jardin.
 
Thomas l’attrapera –t il ?
 
Par Artemis - Publié dans : Eclats de Plume
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Le téléphone sonne inlassablement. Personne ne répond. Thomas s’impatiente. Et si elle n’était pas là. Non, ce serait trop bête. Pour une fois qu’il passait près de chez elle. Il aimerait tant la revoir.

Isabelle se presse.
 
Elle se demande qui peut bien l’appeler avec tant d’insistance. Tout le monde sait bien qu’elle est occupée à préparer son prochain voyage. Elle n’est là pour personne. Ses affaires sont disséminées dans toute la maison, elle fait l’inventaire pour faire ses valises. Elle monte quatre à quatre les marches qui la sépare du téléphone.

Isabelle décroche.

_ Allo  dit-elle légèrement essoufflée.
_ Bonjour Isa.  C’est Thomas. Tu vas ? 
_ M’en parle pas je suis débordée, comme d’hab, et toi ? 
_ Cool, je suis de passage dans ton bled, je passerai bien te faire un bisou. 
_ Viens quand tu veux, mais regarde pas l’état de la maison. Je prépare mes bagages et il y en a partout ! 
_T’inquiètes ! Je ne viens pas pour passer l’inspection, je viens pour te voir ! 

Isabelle raccroche.

Thomas ne tardera pas à arriver. Il est au coin de la rue, il sort de al cabine téléphonique.
Il est heureux de revoir Isabelle. Il savait qu’elle serait contente de le revoir.
Déjà deux ans qu’ils avaient terminé leurs études. Chacun avait pris sa route. Il était resté en région parisienne, elle avait choisit de vivre à la campagne.
Une carte postale à l’occasion des vacances, quelques coups de fils échangés. S’ils ne s’étaient pas perdus de vue, la vie ne leur avait pas donné l’occasion de se revoir.
Ils s’étaient promis que le premier qui aurait l’occasion de croiser le chemin de l’autre, il le ferait.
Aujourd’hui, Thomas se rend en séminaire dans le sud de la France. Il emprunte l’autoroute qui passe non loin d’où habite Isabelle. Il ne peut pas ne pas venir. Elle lui arracherait les yeux si elle le savait.

Thomas roule doucement.

Il se rappelle. Isabelle était une jeune fille pleine de vie, qui riait toujours. Elle n’était pas la plus jolie de l’université, mais sa gentillesse faisait d’elle une camarade très appréciée.

Isabelle s’interroge.

Elle est super ravie de revoir Thomas. Elle se rappelle un garçon tendre et charmant. Ils parlaient souvent, tous les deux, en sirotant un café à la cafétéria de l’université. A-t-il beaucoup changé durant ces années ?
 
La sonnette de la porte d’entrée retentit. Isabelle ouvre à son ami. Thomas est là, devant elle, dans son beau costume bleu. Ses cheveux blonds brillent dans le soleil matinal.
 
Elle n’est vêtue que d’un long tee-shirt laissant dépasser deux jambes fuselées déjà teintées par les premiers rayons du soleil.
L’air frais fait aussitôt jaillir la pointe de ses seins.

Thomas est médusé par ce charmant spectacle, la gentille étudiante est devenue une bien belle jeune femme. Isabelle est stupéfaite de l’allure classe de son ami. Elle a quitté un adolescent et retrouve un homme bien séduisant.

Isabelle est troublée.

Va-t-elle restée là immobile sur le pas de la porte ? Ne va-t-elle pas le laisser entrer ? 

(à suivre)
Par Artemis - Publié dans : Eclats de Plume
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