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Le 20 octobre 2007, j'ai mis cette carte
pour mieux vous connaitre.

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"L'érotisme est l'une des bases de la connaissance
de soi, aussi indispensable que la poésie." 

 

 
Anaïs Nin, Etre une femme et autres essais.

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Eclats de Plume

L'épisode précédent est ici )

Une journée mouvementée.
 
Les jours se sont écoulés au rythme des saisons, l'été a fait place à l'automne.
C'était une de ces journées d'octobre, où le soleil éclaire la nature et la rend si belle, habillée de jaunes, d'ors, de bruns et de rouges.
J'aime l'automne. J'aime ses couleurs et ses saveurs particulières. J'aime m'y promener et chercher les champignons, ramasser les châtaignes. Des plaisirs simples, souvenirs de mon enfance, des moments de silence au cour des bois, des moments que j'aime partager avec ceux qui aime la nature et la respecte.
Mais ce n'est pas l'heure de rêvasser, j'ai du boulot sur la planche.
Monsieur M. m'a faite venir dès l'aube à son bureau pour prendre les consignes.
« C. ! Ma vieille maman doit se rendre à sa cure annuelle. Ses malles doivent être fins prêtes pour son départ prévu demain matin. Préparez aussi quelques effets pour vous et moi, le voyage étant un peu long, nous ferons escale chez l'une de mes amies. Dès que vous aurez fini ce travail, assurez vous que votre patronne ne manque de rien et venez me trouver. »
« Bien, Monsieur, Puis-je disposer ? »
« Allez, et ne traînez pas ! »
 
Je me suis aussitôt rendue à la lingerie pour commencer les bagages. Il ne fallait rien oublier, le séjour durait un mois et l'établissement, s'il assurait le nettoyage des vêtements, ne fournissait ni draps, ni linge de toilette.
Je me suis affairée toute la journée à emballer tous le linge destiné à ma patronne. Sans arrêt interrompue dans mes préparatifs, j'avais du mal à me concentrer et à ne rien oublier. Le facteur qui avait un recommandé, et évidemment personne pour répondre au coup de sonnette. Une parole échangée, on n'est pas des sauvages quand même. Ma patronne qui appelle pour son petit-déjeuner, ensuite pour sa toilette. Le repas de midi servi à Monsieur M. et sa mère et c'est l'heure de la petite promenade de Madame qui ensuite a repris possession de ses appartements pour se reposer et lire le livre qu'elle m'avait demandé et que je suis allée chercher dans la bibliothèque.
L'heure avançait et je voyais que tout ne serait pas prêt avant l'heure du souper et voilà Monsieur M. qui me sonne.
Je me précipite à son bureau, toque à la porte et attends qu'il m?autorise à entrer.
« Entre, C. Dépêche-toi ! » me dit-il.
« Monsieur a besoin de moi ? »
« Oui, prépare un panier et ma veste de laine. Habille-toi pour m'accompagner. Je veux ramasser des champignons, mon amie aura ainsi le plaisir de goûter aux produits de notre terroir. »
«  Suis-je obligée de vous accompagner, Monsieur, tout n'est pas prêt et ... »
« Il suffit, obéis ! Depuis quand discutes-tu mes ordres ? Tu finiras au retour, et si tout n'est pas prêt ?. Tu sais ce qui t'attend ? »
« Oui, Monsieur » répondis-je les yeux baissés.
« Allez file ! Je te retrouve sur le perron.»
 
J'enfile un gilet sur ma robe, donne la veste de Monsieur et nous voilà partis dans le bois qui jouxte le domaine.
Les odeurs, le calme feutré du sous-bois et le chant des oiseaux me font oublier le travail qu'il me reste à faire. Voilà le premier cèpe qui se montre sur un tapis de mousse, puis un autre et encore. Quel plaisir de les cueillir, de remplir le panier, d'imaginer l'omelette que l'on fera cuire chez l'amie de Monsieur.
Et voilà que par inadvertance, je me prend les pieds dans une ronce, perd l'équilibre, renverse le panier et écrase quelques précieux spécimens.
 Monsieur M. se fâche.
 
« Petite maladroite, tu ne pouvais pas faire attention. Tu sais pourtant, comment j'apprend aux imprudentes l'art de faire attention ?»
« Mais... » Bredouillai-je « Je ne l'ai pas fait exprès... »
« Ce n'est pas une excuse et tu le sais ! Viens ici ! »
« Nonnnnnnnn, pas ici Monsieur, s'il vous plait ! On pourrait passer ! »
« Oui, et alors !!! Où est le problème ? Une punition doit se donner immédiatement, mais sache que mon amie sera avisée du peu de cas que tu fais du présent qui lui est destiné ! »
« Oh, non Monsieur, ne le dites pas ! »
Pendant ce temps Monsieur M. a coupé une branche fine et flexible de l'arbre qui était à proximité.
«Il suffit, C. ! Penche-toi, soulève ta jupe et baisse ta culotte ! »
 
Je tremblais de m'exécuter, la honte si quelqu'un me voyait. Je ne bougeais pas. Le regard qu'il me lança alors eu raison de mes dernières réticences. Je ne pouvais pas désobéir, je ne devais pas.
J'ai remonté ma jupe, descendu ma culotte lentement, le rouge aux joues et me suis penchée.
 
Sa main a caressé mes globes ainsi offerts et sans plus attendre a commencé à les rougir, claquant de droite et de gauche, alternativement ou non, afin de ne laisser aucune place à la blancheur laiteuse de ma peau.
 
Dans la forêt silencieuse, ce bruit qui résonnait ne laissait aucun doute sur ce qui se passait là. La honte que je ressentais n'avait d'égale que le plaisir qui montait inévitablement lorsque sa main effleurait au passage mon intimité.
Soudain, la douche de claques s'est arrêtée. Je n'ai pas eu le temps de me relever que la badine improvisée a remplacé la main qui officiait. La badine sifflait dans l'air et rebondissait sur mon joufflu déjà bien rouge.
 
Un bruit soudain, des branches qui craquent... Quelqu'un approche ... C'est certain ...
 

Copyright © 2006

Par Artemis - Publié dans : Eclats de Plume
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( Le premier épisode est ici )


Première soirée au château.
L’allure du cheval s’est ralentie, comme pour me permettre de reprendre mes esprits.
Monsieur M m’a chuchoté à l’oreille :

« Hé bien, Mademoiselle C., il semble que cette première promenade à cheval ne vous ait pas laissé indifférente ! »

Le rouge m’est monté au visage, j’ai alors pris conscience de ce qu’il m’était arrivé. Comment avais-je pu laisser libre cours à mon plaisir devant cet homme que je ne connaissais pas ?
Je n’osais dire un mot, mais il n’avait pas l’air fâché, comme tout à l’heure après l’épisode de la brosse à reluire. Il m’a alors doucement demandé de répondre à sa question.

« C’est une formidable expérience. » lui ai-je répondu. « C’est si agréable de sentir le vent, j’avais une sensation de liberté et la nature est si belle.
Monsieur M. a regardé sa montre et décidé qu’il était temps de rentrer au château, où sa vieille maman avait besoin de mes soins.

Arrivés au château, Monsieur M. est descendu de cheval, m’a pris par la taille et m’a fait descendre doucement, face à lui.
J’ai vu alors dans ses yeux une lueur indéfinissable et un long frisson a parcouru ma colonne vertébrale.
Il m’a rendu mes vêtements et m’a demandé d’aller vaquer à mes occupations et de le rejoindre à son bureau après le souper.

J’ai donc fait comme il était convenu. Je suis d’abord passer dans ma chambre, prendre une bonne douche pour me remettre de l’excitation de cette magnifique course à cheval.
C’est fou l’effet que peut me faire une douche, moi, j’ai dû me faire violence pour en sortir.

Ensuite, je suis allée m’occuper de la charmante personne qu’est la mère de Monsieur M., et suis allée souper avec les autres membres du personnel.

Je me suis alors rendue au bureau de Monsieur M. comme il me l’avait demandé. J’ai frappé et un instant plus tard, il m’a autorisée à entrer.

J’ai attendu immobile devant son bureau pour savoir ce qu’il me voulait. Il m’a regardée et a dit :

« Mademoiselle C, vous avez eu cet après-midi une attitude quelque peu indécente, n’est ce pas ? »

Je ne savais plus où me mettre, je regardais mes chaussures et attendais, quand il reprit :
« Je n’apprécie pas ce genre de comportement et je vais vous punir de vous être ainsi laisser aller. Ne croyez pas que je n’ai pas apprécié cependant, mais je ne veux plus vous voir jouir ainsi sans ma permission »

Il me demanda alors d’approcher et de me positionner en travers de ces genoux. Je sentis ma jupe glisser et dévoiler mes fesses dont les rougeurs témoignaient de la fougue avec laquelle cette cravache m'avait embrassé.

Je commençais à bouger en tous sens, sous la douche de claques que je recevais, j’essayais de mettre mes mains pour me défendre, mais il m’en a empêchée. Le seuil de la douleur passé, je me suis détendue progressivement et je me suis surprise à attendre la claque suivante, mais la cadence ralentissait, ses mains se faisaient douces, les claques devenaient caresses.

Une douce chaleur s’est glissée dans mon bas-ventre, mes jambes se sont imperceptiblement écartées laissant entrevoir mon intimité humide de désir.
La punition était finie, une autre activité a alors commencé et cette fois, ma jouissance était non seulement autorisée mais souhaitée.

J’ai compris ce soir là, que je ne repartirais pas. J’avais trouvé un emploi, certes, mais bien plus encore.

Je connaîtrais d’autres expériences, d’autres punitions, d’autres émotions et je m’y abandonnerai avec délice et volupté.

Merci Monsieur M. de m’avoir fait découvrir ces délicieuses saveurs sucrées salées.
( A suivre ... )



Copyright © 2006

Par Chris - Publié dans : Eclats de Plume
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Le nouvel emploi de Mademoiselle C.

Cela fait plusieurs mois que je ne trouve plus de travail. L'ouvrage manque cruellement en ce moment. La conjoncture actuelle n'est guère favorable.
Je suis prête à accepter n'importe quel travail plutôt que rester inactive. Je consulte tous les jours les petites annonces afin de trouver un emploi mais même chez les châtelains, le train de vie n'est plus ce qu'il était et ils n'emploient plus guère de personnel de maison.
Aussi, vous ne pouvez imaginer le bond qu'à fait mon coeur lorsque j'ai trouvé cette annonce : Homme seul cherche dame de compagnie pour s'occuper de sa vieille mère et effectuer quelques travaux ménagers.
Pour toute candidature, écrire au journal sous la référence 051019 qui transmettra.
C'est un emploi rêvé me dis-je et je prends aussitôt une feuille de papier et commence ma lettre de motivation.
 
Monsieur M,
 
Je viens par la présente postuler pour l'annonce référencée 051019.
Je n'ai jamais travaillé chez un particulier mais mon expérience auprès des personnes âgées de mon quartier n'est plus à prouver.
De plus, j'ai déjà travaillé en hôtel-restaurant et les tâches ménagères ne me font pas peur.
Je suis disponible de suite et me tiens à votre disposition pour tout autre renseignement.
Je vous prie de croire, Monsieur, en l'expression de mes sentiments respectueux.
 
Mademoiselle C.
 
J'ai posté ma lettre et attendu quelques jours en guettant le passage du facteur. Quand celui-ci a sonné à la porte pour me donner un pli recommandé, j'ai changé de couleur. J'ai crains un instant à une lettre d'huissier. Non, c'était le Monsieur de l'annonce qui m'écrivait ceci :
 
Mademoiselle,
 
Je vous attends demain à 9h précise dans mon bureau pour un entretien d'embauche. Vous prendrez le train jusqu'à la gare, mon cocher vous attendra et vous conduira en calèche jusqu'au château.
 
Je vous précise que votre tenue doit être impeccable, Mademoiselle et que si nous faisons affaire, vous prendrez votre service immédiatement. Vous devez donc prendre vos dispositions.
 
Monsieur M.
 
Je ne possède plus rien, tout a été vendu. Il ne me reste que quelques effets personnels que je loge facilement en deux valises.
J'informe mon propriétaire que je quitte le logement le lendemain matin et que je ne reviendrais pas. J'étais sûre de ne pas revenir.
 
Le lendemain matin, je me suis levée, douchée et j'ai mis mon tailleur rouge et mon chemisier blanc, j'ai pris le train et je suis partie sans un regard en arrière. Une nouvelle vie s'ouvrait à moi.
 
Le cocher, comme prévu m'attend et me conduit au bureau de Monsieur M. Il est 9 heures précises. Il frappe à la porte et à la demande de mon employeur, il ouvre la porte et me fait entrer.
 
Je me tiens debout assez intimidée dans cette grande pièce joliment meublée. Le Monsieur me demande d'approcher et m'explique ce que j'aurais à faire.
Je serais employée au service de Madame sa Mère et au sien accessoirement. Je serais nourrie, logée et blanchie, c'est moi qui serai chargée de la lessive des gens du château. J'aurais mes gages en fin de mois et je n'aurais mes jours de repos que lorsque la vieille dame sera en cure.
J'ai accepté, signé le contrat d'embauche et ai suivi Monsieur M. qui me conduisit auprès de sa mère.
 
La vieille dame dormait, je lui ai redressé son oreiller et j'ai suivi mon patron qui me fit visiter le château et les dépendances.
 
C'est alors, qu'il me dit :
 
« Mademoiselle, allez vous changer. Prenez une simple blouse dans la buanderie et retrouvez-moi à la sellerie. Nous allons commencer, le nettoyage des pièces nécessaires pour la sortie à cheval que j'organise avec mes amis en fin de semaine. Je fais ce travail seul en principe, mais puisque vous êtes là je vais vous montrer et vous m'aiderez. »
 
Dix minutes plus tard, je le retrouvais. Je n'avais gardé que mes sous-vêtements et mis la petite blouse comme il me l'avait demandé.
 
«  C'est bien, Mademoiselle, je vous préviens que ce travail doit être fait minutieusement, et que je me verrais contraint de sévir si cela ne va pas comme je veux. C'est clair, Mademoiselle ? »
 
« Oui Monsieur, très clair. »
 
Je commence à cirer les selles des chevaux tandis que le patron s'occupe des filets.
 
J'en étais à la dernière selle quand j'ai échappé la brosse à reluire dans le seau d'eau. Le patron s'en est aperçu aussitôt et s'est fâché.
 
«  Petite maladroite, vous ne pouviez pas faire attention. Cette brosse est longue à sécher et j'en avais encore besoin. Vous me faites prendre un grand retard à cause de votre maladresse. Je vais vous punir pour ça. »
 
« Je vous demande pardon, Monsieur, je ne l'ai pas fais exprès, je me suis penchée sur la selle et la brosse m'a glissé des mains. »
 
Le patron ,sur un autre ton, me dit :
 
«  Baisse les yeux quand tu me parles dès maintenant, C, et ne m'adresse la parole seulement si je te pose une question, compris ? »
 
« Oui, Monsieur », dis-je en baissant la tête et en regardant le bout de mes chaussures.
 
Je commençais à me demander si j'avais eu raison d'accepter ce poste, mais le patron ne m'a pas donné le loisir de méditer longtemps.
 
«  Penchée sur la selle disais-tu ?  Voilà donc comment tu recevras ta première correction. Va me chercher et tend-moi la cravache qui est dans le coin là. »
 
« Voilà, Monsieur. »
 
« Maintenant, baisse ta culotte sur tes chevilles et penche-toi sur la selle comme tu l'as fait tout à l'heure »
 
«  Oh non, Monsieur, pas les fesses nues ! »
 
« Obéis, ou, la punition sera plus sévère encore. Ecarte les jambes et redresse ta croupe, tu vas goûter de ma cravache»
 
«  Oui, Monsieur »
 
Il promène sa cravache le long de mes jambes de bas en haut, s'arrête un instant et semble vouloir séparer mes deux globes charnus. C'est troublant et angoissant à la fois. Je me sens indécente ainsi exposée à son regard mais je n'ose pas bouger. La cravache se soulève et alors que je m'y attends le moins, le premier coup tombe immédiatement suivi d'un autre. Encore et encore. Les morsures deviennent difficiles à supporter.
 
Aussi soudainement qu'il a commencé le patron arrête son mouvement et passe sa main mon fessier rougi. Sa main est si douce, comment a-t-il pu me faire aussi mal.
 
«  C'était pour ton bien, C, j'espère que cette leçon t'aura servi. »
 
« Oui, aïe aïe aïe, oui Monsieur, je ferais attention à l'avenir. »
Alors, relève-toi, donnes moi ta culotte. Tourne-toi, enlève ta blouse et ton soutien-gorge. Je veux te voir nue et admirer ces belles fesses rougies.
 
Je n'osais pas désobéir de peur de recevoir une autre correction. Quelques minutes ont passé et il est venu doucement dernière moi et m'a glissé doucement dans l'oreille.
 
« Es-tu déjà montée à cheval ? »
 
« Oh non, Monsieur, je n'en ai jamais eu l'occasion ! »
 
Et bien nous avons quand même bien travaillé, je t'emmène découvrir le domaine. Il a pris la selle de mes malheurs, a sellé son cheval blanc et m'a soulevée avec une grande douceur pour me poser sur le cheval.
 
En un éclair, il était derrière moi, il a pris les rênes, et le cheval a filé par le portail du château.
 
J'étais nue, le vent cinglait ma peau faisant durcir mes tétons. Mes fesses étaient douloureuses, elles sautaient en cadence qu rythme du cheval. Mais en même temps une étrange douceur m'a submergée, un goût de liberté de communion avec la nature. Je sentais contre moi le corps et le sexe de cet homme, ce matin inconnu et son souffle dans mon cou. J'ai senti des contractions dans mon bas ventre. Et alors que je m'y attendais le moins j'ai eu un orgasme fulgurant et j'ai crié mon plaisir dans le vent de cette course. J'étais anéantie. J'étais bien ...
( A suivre ...  )
 
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Par Artemis - Publié dans : Eclats de Plume
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Ce texte écrit au printemps sur un forum que j'affectionne Discipline domestique a été gentiment mis en ligne par Fabien qui l'avait apprécié. Je vous l'offre aujourd'hui tel que pour vous les nouveaux visiteurs  .... et aussi pour faire plaisir à Sarahh
 
  
Par un bel après-midi de printemps, Isabelle a décidé de profiter des premiers rayons de l’astre rayonnant.
Elle installe une couverture sur sa pelouse à l’abri des regards indiscrets des voisins. Elle se sait seule et tranquille, elle retire sa petite robe et s’allonge nue, les yeux regardant le ciel.
Il fait beau, il fait bon, un léger souffle de vent parcourt sa peau qui s’offre pour la première fois de l’année à ce plaisir.
Elle observe le manège de ces grands oiseaux qui planent au dessus d’elle. Les conditions son t idéales et les amateurs de vol libre se régalent.
 
Isabelle envie leur liberté.
 
Ses yeux se brouillent à fixer le ciel, elle se retourne et se met sur le ventre offrant ces fesses à la caresse du vent et aux rayons du soleil. Elle ouvre un livre et aussitôt son esprit s’évade. Elle se retrouve dans un château en Ecosse à l’époque de son homonyme Isabelle de France dite la Louve.
 
Isabelle se délecte de ces aventures et de ces intrigues.
 
Une ombre cache le soleil, Isabelle pense qu’il n’avait pas annoncé cela à la météo, il ne devait pas y avoir de nuage. Elle ne se formalise pas davantage et poursuit sa lecture tant son envie est grande de savoir ce qu’il arriverait à cette jeune châtelaine que l’on a mariée pour de sombres raisons d’intérêt entre la cour d’Ecosse et la Cour de France.
 
Isabelle est dans la peau de la jeune mariée.
 
L’ombre reste immobile. Un nuage ne reste pas en place, Isabelle s’interroge. Elle lève les yeux de son livre et voit un homme, bel homme en vérité, qui la regarde un sourire aux lèvres. Il n’avait pas voulu déranger la jeune femme. Le tableau qu’elle lui offrait le ravissait.
 
Isabelle est surprise.
 
« Vous ! » s’exclame-t-elle « pourquoi ne m’avez –vous pas averti de votre visite, je me serai préparée à vous recevoir. »
Il préfère l’effet de surprise et la trouver ainsi, le comble visiblement. En bonne maîtresse de maison, elle lui propose de prendre place au salon de jardin.
Elle se lève et remet sa robe pour aller chercher quelques rafraîchissements. Devant son air étonné, elle ne lui laisse pas le temps de parler.
 
Isabelle s’en va.
 
Elle revient avec un plateau de jus de fruit et s’installe en compagnie de son visiteur imprévu. Elle est toujours ravie de recevoir un ami. De plus, quand cet homme lui rend visite, leur conversation est toujours animée. Il la connaît bien maintenant, il sait qu’elle démarre au quart de tour et la provoque systématiquement. Il lui demande pourquoi elle a remis sa robe.
 
Isabelle se rebelle.
 
Elle est colère envers les gens qui se mêlent de ce qui ne les regardent pas. Elle lui dit ce qu’elle a lu quelques jours auparavant. :
Un homme a été condamné à 5000 francs d'amende pour "exhibition sexuelle imposée", tout simplement parce qu'il a pris un bain de soleil dans son propre jardin, aux motifs que, "le seul fait de se montrer en état de nudité complète constitue un acte d'exhibitionnisme sexuel, indépendamment de toute intention lubrique ou provocatrice, qu'en effet, les règles sociales et morales interdisent de montrer certaines parties du corps telles que les parties génitales..."
Bien sur le débat ne fait que commencer, il sait qu’elle voudra avoir raison et il se fait l’avocat du diable. Fidèle à elle-même, elle explique, démontre, prouve par tous le moyens qu’elle a raison. Elle affirme que ce qui est arrivé à cet homme est inadmissible. Si l’on n’est pas libre chez soi, où le sera-t-on ? Emportée par sa fougue, elle étend le bras pour accentuer son propos et renverse le jus d’orage sur le pantalon du monsieur.
 
Isabelle est confuse.
 
Elle s’excuse et lui demande de donner son pantalon qu’elle rincera immédiatement. Il sera sec avant son départ avec le soleil ambiant. Il s’exécute mais quand elle revient il lui dit que son inattention mérite une punition. Elle doit apprendre à ne pas s’emporter comme elle le fait, à se discipliner même si elle a raison. Elle doit apprendre à maîtriser ses pulsions et convaincre posément.
Isabelle le regarde.
 
Elle ne sait que dire, elle ne l’a jamais vu comme ça. Le sourire qu’il affichait à son arrivé a fait place à un regard sévère. Elle n’ose plus bouger. Elle est là devant lui, rouge de confusion. Que va-t-il faire ? Quelle idée a-t-il aujourd’hui ? Ce n’est pas la première fois qu’elle est maladroite mais jamais il n’a réagit ainsi.
 
Isabelle s’interroge.
 
Il lui demande de s’approcher, ses yeux sont impérieux. Isabelle n’ose pas répondre. Elle est comme hypnotisée par ce regard. Elle qui ne se laisse jamais faire, est incapable de réagir, comme aspirée par sa volonté. Elle fait un pas vers lui, i l la prend par le bras et la bascule sur ces genoux. Elle retrouve la parole et dit
« Non, vous n’allez pas faire ça ? Vous n’allez pas me donner la fessée, à mon âge ? »
Elle remue tente, de se dégager, mais il la maintient fermement son bras passé autour de sa taille.
«  Je vais me gêner » répond le Monsieur,  « Il me semble que vous avez dépassé les limites. Vous êtes aussi écervelée qu’une gamine et comme une gamine vous allez recevoir une fessée bien méritée. Vous la méritez, non ? »
 
Isabelle acquiesce dans un murmure.
 
Les claques commencent à tomber sur ses fesses que ne protège que le tissu léger de sa petite robe. Elles tombent alternativement à gauche, à droite, à droite, à gauche. Isabelle sent ses fesses chauffer mais ne dit rien, elle est attentive à ce qui lui arrive, elle analyse ces sensations. Le monsieur lui demande de se lever et de la regarder.
 
Isabelle se dresse devant lui.
 
Il lui demande alors de retirer sa robe, elle hésite. Il voit son hésitation et lui dit que si elle ne le fait pas elle-même, il s’en chargera mais que la fessée serait plus sévère. Elle retire sa robe et se retrouve nue devant lui. Etrangement, elle se sent vulnérable. Il l’a vue nue tout à l’heure pourtant, mais c’était différent. Elle était nue parce que tel était son plaisir et la voilà nue par sa volonté, à lui.
 
Isabelle est troublée.
 
Il lui demande de se remettre sur ses genoux. Elle ne résiste plus, elle sait que ce qu’elle est en train de vivre est une expérience spéciale, elle veut savoir. Ses fesses offertes à la main de son ami, elle se sent possédée. Les claques reprennent inlassablement. Ses fesses commencent à cuirent sérieusement, elle gesticule, elle gémit. Ses cuisses s’écartent sous l’impact des claques précises, une chaleur envahit son bas ventre. ….
 
Un bruit dans le jardin, Isabelle se réveille.
 
Elle s’était endormie sur son livre. Ses fesses chauffent, l’astre rayonnant a cuit ses fesses blanches, l’ombre qui la protégeait a disparu. Encore dans son rêve, Elle sent une humidité entre ses cuisses.
 
Isabelle sourit.
 
L’heure de la ‘biafine’ viendra plus tard, Elle se tourne face au ciel. Elle se caresse encore perdue dans ses pensées. Elle revoit cet homme, elle revoit cette aventure étrange, elle aurait aimé que ce ne soit pas un rêve. Elle regarde le ballet incessant des grands oiseaux blancs … Un jour un de ces oiseaux blancs l’emportera vers la liberté. Elle sent son plaisir monter, elle ferme les yeux se cambre, sous le ballet des oiseaux blancs.
 
Isabelle a joui.
 
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Par Artemis - Publié dans : Eclats de Plume
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