Le nouvel emploi de Mademoiselle C.
Cela fait plusieurs mois que je ne trouve plus de travail. L'ouvrage manque cruellement en ce moment. La conjoncture actuelle n'est guère favorable.
Je suis prête à accepter n'importe quel travail plutôt que rester inactive. Je consulte tous les jours les petites annonces afin de trouver un emploi mais même chez les châtelains, le train de vie n'est plus ce qu'il était et ils n'emploient plus guère de personnel de maison.
Aussi, vous ne pouvez imaginer le bond qu'à fait mon coeur lorsque j'ai trouvé cette annonce : Homme seul cherche dame de compagnie pour s'occuper de sa vieille mère et effectuer quelques travaux ménagers.
Pour toute candidature, écrire au journal sous la référence 051019 qui transmettra.
C'est un emploi rêvé me dis-je et je prends aussitôt une feuille de papier et commence ma lettre de motivation.
Monsieur M,
Je viens par la présente postuler pour l'annonce référencée 051019.
Je n'ai jamais travaillé chez un particulier mais mon expérience auprès des personnes âgées de mon quartier n'est plus à prouver.
De plus, j'ai déjà travaillé en hôtel-restaurant et les tâches ménagères ne me font pas peur.
Je suis disponible de suite et me tiens à votre disposition pour tout autre renseignement.
Je vous prie de croire, Monsieur, en l'expression de mes sentiments respectueux.
Mademoiselle C.
J'ai posté ma lettre et attendu quelques jours en guettant le passage du facteur. Quand celui-ci a sonné à la porte pour me donner un pli recommandé, j'ai changé de couleur. J'ai crains un instant à une lettre d'huissier. Non, c'était le Monsieur de l'annonce qui m'écrivait ceci :
Mademoiselle,
Je vous attends demain à 9h précise dans mon bureau pour un entretien d'embauche. Vous prendrez le train jusqu'à la gare, mon cocher vous attendra et vous conduira en calèche jusqu'au château.
Je vous précise que votre tenue doit être impeccable, Mademoiselle et que si nous faisons affaire, vous prendrez votre service immédiatement. Vous devez donc prendre vos dispositions.
Monsieur M.
Je ne possède plus rien, tout a été vendu. Il ne me reste que quelques effets personnels que je loge facilement en deux valises.
J'informe mon propriétaire que je quitte le logement le lendemain matin et que je ne reviendrais pas. J'étais sûre de ne pas revenir.
Le lendemain matin, je me suis levée, douchée et j'ai mis mon tailleur rouge et mon chemisier blanc, j'ai pris le train et je suis partie sans un regard en arrière. Une nouvelle vie s'ouvrait à moi.
Le cocher, comme prévu m'attend et me conduit au bureau de Monsieur M. Il est 9 heures précises. Il frappe à la porte et à la demande de mon employeur, il ouvre la porte et me fait entrer.
Je me tiens debout assez intimidée dans cette grande pièce joliment meublée. Le Monsieur me demande d'approcher et m'explique ce que j'aurais à faire.
Je serais employée au service de Madame sa Mère et au sien accessoirement. Je serais nourrie, logée et blanchie, c'est moi qui serai chargée de la lessive des gens du château. J'aurais mes gages en fin de mois et je n'aurais mes jours de repos que lorsque la vieille dame sera en cure.
J'ai accepté, signé le contrat d'embauche et ai suivi Monsieur M. qui me conduisit auprès de sa mère.
La vieille dame dormait, je lui ai redressé son oreiller et j'ai suivi mon patron qui me fit visiter le château et les dépendances.
C'est alors, qu'il me dit :
« Mademoiselle, allez vous changer. Prenez une simple blouse dans la buanderie et retrouvez-moi à la sellerie. Nous allons commencer, le nettoyage des pièces nécessaires pour la sortie à cheval que j'organise avec mes amis en fin de semaine. Je fais ce travail seul en principe, mais puisque vous êtes là je vais vous montrer et vous m'aiderez. »
Dix minutes plus tard, je le retrouvais. Je n'avais gardé que mes sous-vêtements et mis la petite blouse comme il me l'avait demandé.
« C'est bien, Mademoiselle, je vous préviens que ce travail doit être fait minutieusement, et que je me verrais contraint de sévir si cela ne va pas comme je veux. C'est clair, Mademoiselle ? »
« Oui Monsieur, très clair. »
Je commence à cirer les selles des chevaux tandis que le patron s'occupe des filets.
J'en étais à la dernière selle quand j'ai échappé la brosse à reluire dans le seau d'eau. Le patron s'en est aperçu aussitôt et s'est fâché.
« Petite maladroite, vous ne pouviez pas faire attention. Cette brosse est longue à sécher et j'en avais encore besoin. Vous me faites prendre un grand retard à cause de votre maladresse. Je vais vous punir pour ça. »
« Je vous demande pardon, Monsieur, je ne l'ai pas fais exprès, je me suis penchée sur la selle et la brosse m'a glissé des mains. »
Le patron ,sur un autre ton, me dit :
« Baisse les yeux quand tu me parles dès maintenant, C, et ne m'adresse la parole seulement si je te pose une question, compris ? »
« Oui, Monsieur », dis-je en baissant la tête et en regardant le bout de mes chaussures.
Je commençais à me demander si j'avais eu raison d'accepter ce poste, mais le patron ne m'a pas donné le loisir de méditer longtemps.
« Penchée sur la selle disais-tu ? Voilà donc comment tu recevras ta première correction. Va me chercher et tend-moi la cravache qui est dans le coin là. »
« Voilà, Monsieur. »
« Maintenant, baisse ta culotte sur tes chevilles et penche-toi sur la selle comme tu l'as fait tout à l'heure »
« Oh non, Monsieur, pas les fesses nues ! »
« Obéis, ou, la punition sera plus sévère encore. Ecarte les jambes et redresse ta croupe, tu vas goûter de ma cravache»
« Oui, Monsieur »
Il promène sa cravache le long de mes jambes de bas en haut, s'arrête un instant et semble vouloir séparer mes deux globes charnus. C'est troublant et angoissant à la fois. Je me sens indécente ainsi exposée à son regard mais je n'ose pas bouger. La cravache se soulève et alors que je m'y attends le moins, le premier coup tombe immédiatement suivi d'un autre. Encore et encore. Les morsures deviennent difficiles à supporter.
Aussi soudainement qu'il a commencé le patron arrête son mouvement et passe sa main mon fessier rougi. Sa main est si douce, comment a-t-il pu me faire aussi mal.
« C'était pour ton bien, C, j'espère que cette leçon t'aura servi. »
« Oui, aïe aïe aïe, oui Monsieur, je ferais attention à l'avenir. »
Alors, relève-toi, donnes moi ta culotte. Tourne-toi, enlève ta blouse et ton soutien-gorge. Je veux te voir nue et admirer ces belles fesses rougies.
Je n'osais pas désobéir de peur de recevoir une autre correction. Quelques minutes ont passé et il est venu doucement dernière moi et m'a glissé doucement dans l'oreille.
« Es-tu déjà montée à cheval ? »
« Oh non, Monsieur, je n'en ai jamais eu l'occasion ! »
Et bien nous avons quand même bien travaillé, je t'emmène découvrir le domaine. Il a pris la selle de mes malheurs, a sellé son cheval blanc et m'a soulevée avec une grande douceur pour me poser sur le cheval.
En un éclair, il était derrière moi, il a pris les rênes, et le cheval a filé par le portail du château.
J'étais nue, le vent cinglait ma peau faisant durcir mes tétons. Mes fesses étaient douloureuses, elles sautaient en cadence qu rythme du cheval. Mais en même temps une étrange douceur m'a submergée, un goût de liberté de communion avec la nature. Je sentais contre moi le corps et le sexe de cet homme, ce matin inconnu et son souffle dans mon cou. J'ai senti des contractions dans mon bas ventre. Et alors que je m'y attendais le moins j'ai eu un orgasme fulgurant et j'ai crié mon plaisir dans le vent de cette course. J'étais anéantie. J'étais bien ...
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