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Un nombre c'est bien ,mais c'est pas très
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Le 20 octobre 2007, j'ai mis cette carte
pour mieux vous connaitre.

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"L'érotisme est l'une des bases de la connaissance
de soi, aussi indispensable que la poésie." 

 

 
Anaïs Nin, Etre une femme et autres essais.

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~ Il y a  1  promeneurs sur Over-Blog dont   1  curieux sur cette planète ~


Je n’ai pas la prétention de faire une merveille, j’ai juste envie de vous faire partager un peu de moi, quelques ‘éclats’ de moi.

Mes écrits, mes lectures, mes états d’âmes ou mes coups de colère, j’ai envie de vous faire plaisir et de me faire plaisir.

Si vous passez me voir et aimez ne serait-ce qu’une histoire, un poème ou un simple mot.

J’aurai gagné et je vous en remercie.

 

 

De moi à vous
Eclatez-vous
De vous à moi
Ecrivez-là

 

Je tenais à vous remercier tous de votre sympathie. vos messages ici et ailleurs m'ont fait chaud au coeur.
Le plus dur est passé. Tout va s'arranger.
Ce qui est frustrant dans tout ça, c'est l'impuissance que l'on a devant la souffrance de l'autre.
Souffrance morale avec l'appréhension de l'intervention et les mots que l'on dit pour rassurer et qui semblent si inutiles.
Souffrance physique ensuite que l'on voit dans les yeux et que l'on ne peut endiguer.
On aimerait pouvoir faire sortir cette souffrance mais on ne peut que parler doucement, tenir la main, accompagner ...

J'ai passé des heures à ses côtés, sa main dans la mienne. 

Ma fille, ma grande .....Dans quelques jours tu n'y penseras plus ...La vie reprendra ses droits et toi tu retrouveras ton sourire.

 

Par Artemis - Publié dans : Eclats de moi
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Au clair de ma fleur
En ce petit jour
Je te donne mon cœur
Et tout mon amour.
 
Au clair de mon corps
Je n’ai plus de jus
Aime-moi encore
Car je n’en peux plus.
 
Au clair de ma fleur,
Tes doigts polissons
Fouillent avec ardeur
Mon cul et mon con.

 
Au clair de ma chatte
Qui est excitée
Me mets à quatre pattes
Pour mieux me donner.
  
Au clair de mon cul,
Tu m’as possédée
Ta queue est venue
Et moi, j’ai crié.
 
Au clair du matin
Je te dis merci
Car par ton entrain
Je suis épanouie.

Copyright © Octobre 2006

Par Artemis - Publié dans : Eclats de Poésies
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( Le premier épisode est ici )


Première soirée au château.
L’allure du cheval s’est ralentie, comme pour me permettre de reprendre mes esprits.
Monsieur M m’a chuchoté à l’oreille :

« Hé bien, Mademoiselle C., il semble que cette première promenade à cheval ne vous ait pas laissé indifférente ! »

Le rouge m’est monté au visage, j’ai alors pris conscience de ce qu’il m’était arrivé. Comment avais-je pu laisser libre cours à mon plaisir devant cet homme que je ne connaissais pas ?
Je n’osais dire un mot, mais il n’avait pas l’air fâché, comme tout à l’heure après l’épisode de la brosse à reluire. Il m’a alors doucement demandé de répondre à sa question.

« C’est une formidable expérience. » lui ai-je répondu. « C’est si agréable de sentir le vent, j’avais une sensation de liberté et la nature est si belle.
Monsieur M. a regardé sa montre et décidé qu’il était temps de rentrer au château, où sa vieille maman avait besoin de mes soins.

Arrivés au château, Monsieur M. est descendu de cheval, m’a pris par la taille et m’a fait descendre doucement, face à lui.
J’ai vu alors dans ses yeux une lueur indéfinissable et un long frisson a parcouru ma colonne vertébrale.
Il m’a rendu mes vêtements et m’a demandé d’aller vaquer à mes occupations et de le rejoindre à son bureau après le souper.

J’ai donc fait comme il était convenu. Je suis d’abord passer dans ma chambre, prendre une bonne douche pour me remettre de l’excitation de cette magnifique course à cheval.
C’est fou l’effet que peut me faire une douche, moi, j’ai dû me faire violence pour en sortir.

Ensuite, je suis allée m’occuper de la charmante personne qu’est la mère de Monsieur M., et suis allée souper avec les autres membres du personnel.

Je me suis alors rendue au bureau de Monsieur M. comme il me l’avait demandé. J’ai frappé et un instant plus tard, il m’a autorisée à entrer.

J’ai attendu immobile devant son bureau pour savoir ce qu’il me voulait. Il m’a regardée et a dit :

« Mademoiselle C, vous avez eu cet après-midi une attitude quelque peu indécente, n’est ce pas ? »

Je ne savais plus où me mettre, je regardais mes chaussures et attendais, quand il reprit :
« Je n’apprécie pas ce genre de comportement et je vais vous punir de vous être ainsi laisser aller. Ne croyez pas que je n’ai pas apprécié cependant, mais je ne veux plus vous voir jouir ainsi sans ma permission »

Il me demanda alors d’approcher et de me positionner en travers de ces genoux. Je sentis ma jupe glisser et dévoiler mes fesses dont les rougeurs témoignaient de la fougue avec laquelle cette cravache m'avait embrassé.

Je commençais à bouger en tous sens, sous la douche de claques que je recevais, j’essayais de mettre mes mains pour me défendre, mais il m’en a empêchée. Le seuil de la douleur passé, je me suis détendue progressivement et je me suis surprise à attendre la claque suivante, mais la cadence ralentissait, ses mains se faisaient douces, les claques devenaient caresses.

Une douce chaleur s’est glissée dans mon bas-ventre, mes jambes se sont imperceptiblement écartées laissant entrevoir mon intimité humide de désir.
La punition était finie, une autre activité a alors commencé et cette fois, ma jouissance était non seulement autorisée mais souhaitée.

J’ai compris ce soir là, que je ne repartirais pas. J’avais trouvé un emploi, certes, mais bien plus encore.

Je connaîtrais d’autres expériences, d’autres punitions, d’autres émotions et je m’y abandonnerai avec délice et volupté.

Merci Monsieur M. de m’avoir fait découvrir ces délicieuses saveurs sucrées salées.
( A suivre ... )



Copyright © 2006

Par Chris - Publié dans : Eclats de Plume
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Lorsque j’ai publié le premier épisode des aventures de Mademoiselle C., quelqu’un m’a  demandé si Lady Godiva m'avait inspirée.
J’ignorais tout de cette dame. Mais je suis curieuse et j’ai soif d’apprendre. Je suis donc allée sur Google et j'ai trouvé sur ce site :
 
 
Cette légende :

Lady Godiva par John Collier c.1898 (cliquer pour agrandir)
Au début de l'an 1000, les habitants de la ville de Coventry en Angleterre menait une existance difficile, étant écrasés sous le poids des impôts que prélevait le Comte Léofric de Chester pour financer ses campagnes militaires. Sa jeune épouse Lady Godiva (Godwa ou Godgifu en saxon) eut pitié de ces gens et implora Léofric de diminuer le taux de taxation. Il accepta à la condition qu'elle traverse nue la place du marché de Coventry, ce qu'elle fit à cheval, sa longue chevelure dissimulant son corps.
Un embellissement plus tardif de la légende raconte que Godiva demanda à tous les habitants de rester chez eux, volets fermés. Et que seul un tailleur appelé Peeping Tom osa regarder la scène par la fente d'un volet. Mal lui en prit, car il perdit aussitôt la vue.
 
Mais l'histoire que dit-elle ? :
 
Selon Wikipédia, une femme portant ce nom a bel et bien vécu au XI ème siècle. Elle était Saxonne et l'épouse de Léoric, comte de Chester. Elle est connue pour avoir été une pieuse bienfaitrice.
Au XIII  ème siècle, le roi Edouard 1er a voulu savoir si la légende disait vraie.
Il a constaté qu'en 1057, l'impôt n'a plus été prélevé, mais rien ne dit que cela est dû à cet évènement.
 
Ce que j'ai envie de croire :
 
Il me plait d'imaginer que cette légende fût vraie.
Il me plait de penser que j'aurais pû être cette femme.
Je suis pacifique et je ne conçois pas que le peuple soit assommé d'un impôt injuste, de surcroît pour aller faire la guerre.
Oui, sans hésiter, j'aurais parcouru la ville nue à cheval ....
Pour le respect de mes convictions.
Si une telle chose devait se produire de nos jours, je crois que j'hésiterai sérieusement, la loi étant très sévère vis à vis de la nudité en public.... J'en reparlerai ....
Par Artemis - Publié dans : Eclats de Curiosité
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